Liste des publications :
Philosophie / Dissertations Philosophiques
Date Publication | Sous-theme | Tome | Titre | Description | Durée |
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20/10/2015 | 01 Le Sujet | 01 La conscience | La conscience morale n'est-elle que le résultat de l'éducation ? | INTRODUCTION : Ce qu’est la conscience morale, comparaison avec le sentiment de honte des animaux. Problématique : y a-t-il un aspect inné dans la conscience morale ?
THÈSE : Jean-Paul Sartre s’oppose à cela : pour lui, rien n’est inné. L’essence de l’homme va se construire après son existence, en fonction des conséquences des actes.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : La conscience morale s’apprend, il est vrai, par 1° l’éducation ; 2° l’expérience et 3° les peines extérieures, conséquences immanentes des actes mauvais. Mais ce n’est pas tout. La syndérèse, propriété de l’intelligence (Thomas d’Aquin, Somme Théologique, Ia, q.79). Exemple des souffrances intérieures causées par la syndérèse blessée.
CONCLUSION : Y a-t-il un bien objectif et un mal objectif ?
PHILOSOPHIE REALISTE INTRODUCTION : Ce qu’est la conscience morale, comparaison avec le sentiment de honte des animaux. Problématique : y a-t-il un aspect inné dans la conscience morale ? THÈSE : Jean-Paul Sartre s’oppose à cela : pour lui, rien n’est inné. L’essence de l’homme va se construire après son existence, en fonction des conséquences des actes. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : La conscience morale s’apprend, il est vrai, par 1° l’éducation ; 2° l’expérience et 3° les peines extérieures, conséquences immanentes des actes mauvais. Mais ce n’est pas tout. La syndérèse, propriété de l’intelligence (Thomas d’Aquin, Somme Théologique, Ia, q.79). Exemple des souffrances intérieures causées par la syndérèse blessée. CONCLUSION : Y a-t-il un bien objectif et un mal objectif ? |
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05/12/2015 | 01 Le sujet | 02 La perception | Enchantement de la nature, ré-enchantement de la nature | INTRODUCTION : Un sujet qui touche la capacité de l’homme à regarder une réalité sous plusieurs aspects. PREMIÈRE PARTIE : Trois façons réalistes et froides de regarder la nature : Tout est mort ; tout est utile ; tout est matériel. DEUXIÈME PARTIE : Trois façons de ré enchanter la nature : Tout est vie qui jaillit, tout est beauté et vérité, tout est voulu par des esprits cachés. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Ces deux regards ensemble disent des vérités profondes sur le destin tragique de l’homme dans la nature. CONCLUSION : Savoir enchanter la nature pour vivre, fuir le regard désespéré de Qohélet dans la Bible. | 00:25:00 |
11/09/2017 | 01 Le Sujet | 03 Autrui | L'autre que je considérais comme un diable pourrait-il me surprendre ? | INTRODUCTION : Qu’est-ce qu’un diable et un ange au sens métaphorique de ce sujet ?
PREMIÈRE PARTIE : Les trois aspects subjectifs qui peuvent me faire considérer l’autre comme un diable ? 1- Apparence physique, 2- antipathie psychique, 3- réalité des intentions
Les trois aspects objectifs : Actes mauvais : réellement mauvais ou mauvais en apparence ?
DEUXIÈME PARTIE : Découvrir l’autre réel au-delà des apparences -Le culte de l’oignon-. Mûrir pour découvrir les intentions réelles de l’autre : « Qui aime bien châtie bien ».
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Qu’est-ce qu’un diable et un ange au sens métaphorique de ce sujet ? PREMIÈRE PARTIE : Les trois aspects subjectifs qui peuvent me faire considérer l’autre comme un diable ? 1- Apparence physique, 2- antipathie psychique, 3- réalité des intentions Les trois aspects objectifs : Actes mauvais : réellement mauvais ou mauvais en apparence ? DEUXIÈME PARTIE : Découvrir l’autre réel au-delà des apparences -Le culte de l’oignon-. Mûrir pour découvrir les intentions réelles de l’autre : « Qui aime bien châtie bien ». CONCLUSION : « Il n’y a pas d’amour. Il n’y a que des actes d’amour ». |
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01/12/2015 | 01 Le sujet | 04 Le désir | Toute passion est-elle déraisonnable ? | INTRODUCTION : Définition de la passion (les 11 passions selon Thomas d’Aquin) et de la volonté (amour raisonnable). C’est l’harmonie entre ces deux énergies présentes dans l’être humain qui est ici visée. THÈSE : L’avis des stoïciens et des Pélagiens : Méfiance par rapport à la passion, exaltation de la volonté (amour raisonnable). ANTITHÈSE : La spontanéité de mai 68 : Choisir d’être déraisonnable pas la spontanéité de la passion. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Le rapport entre passion et amour raisonnable dans l’activité éthique : premier amour, intension, choix, acquisition des vertus. CONCLUSION : La vie bien gérée ne chasse pas la passion mais la canalise vers le bien, le beau, le vrai ! | 00:25:00 |
20/10/2015 | 01 Le Sujet | 04 Le désir | L’amour est-il un sentiment ? | INTRODUCTION : Actuellement, dans la jeunesse, l’amour est identifié à un sentiment. Pourtant, dans le vocabulaire grec, il y avait 4 mots pour signifier l’amour : eros, pathos, philia, Agape.
PREMIÈRE PARTIE : Qu’en dit la psychologie à la mode actuellement, autour des deux concepts de « besoin » et de « désir ».
DEUXIÈME PARTIE : Recherche philosophique à partir de l’expérience : les 4 degrés dans l’amour humain. L’exemple de l’amour du couple, de sa naissance et de son devenir au cours d’une vie conjugale fidèle.
CONCLUSION : « Il n’y a pas d’amour. Il n’y a que des actes d’amour ». Le sentiment amoureux n’est, avec l’attirance physique, que l’occasion de la naissance de l’amour.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Actuellement, dans la jeunesse, l’amour est identifié à un sentiment. Pourtant, dans le vocabulaire grec, il y avait 4 mots pour signifier l’amour : eros, pathos, philia, Agape. PREMIÈRE PARTIE : Qu’en dit la psychologie à la mode actuellement, autour des deux concepts de « besoin » et de « désir ». DEUXIÈME PARTIE : Recherche philosophique à partir de l’expérience : les 4 degrés dans l’amour humain. L’exemple de l’amour du couple, de sa naissance et de son devenir au cours d’une vie conjugale fidèle. CONCLUSION : « Il n’y a pas d’amour. Il n’y a que des actes d’amour ». Le sentiment amoureux n’est, avec l’attirance physique, que l’occasion de la naissance de l’amour. |
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25/10/2015 | 01 Le sujet | 04 Le Désir | Est-il absurde de désirer l'impossible ? | INTRODUCTION : Le scandale d’une chanson de JJ Goldman : Les enfoirés, « toute la vie ». PREMIÈRE PARTIE : Le cœur de l’homme porte en lui le désir de l’impossible. Nul ne peut le nier. ANTITHÈSE : Comment le désir de l’impossible a été source des plus grands malheurs, aussi bien en politique au XX° s. qu’en éthique : Le communisme, le bovarysme. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : L’utopie des jeunes et le réalisme des vieux doivent marcher ensemble comme deux affectionnées. Le réalisme sans utopie conduit à l’épuisement. L’espoir de l’impossible sans le réalisme des sages conduit au fanatisme. C’est vrai en politique comme dans le couple. CONCLUSION : L’espérance religieuse, opium du peuple ou nécessité vitale ? | 00:33:00 |
19/10/2015 | 01 Le Sujet | 04 Le désir | Le désir peut-il se satisfaire de la réalité ? | INTRODUCTION : Poser l’importance du sujet et esquisser le plan : les ravages écologique du désir humain. L’exemple de Tchernobyl. PREMIÈRE PARTIE : Différence entre le désir animal (qui est clos) et le désir humain (qui est ouvert à cause de la vie spirituelle). Les trois sentiments du désir d’après le psychologue Jean Piajet : Valorisation, autonomie, sécurité. Différence entre bonheur et béatitude. DEUXIÈME PARTIE : L’éthique et la sagesse, seules capables ensemble d’après Aristote de modérer ce désir de béatitude pour se contenter du désir du bonheur : l’éthique modère et la sagesse fait espérer la béatitude dans l’éternité. La réponse d’Aristote, de Bouddha et de Jésus Christ. TROISIÈME PARTIE : « Le monde est assez grand pour les besoins de l’homme, mais pas assez pour sa convoitise. » | 00:40:00 |
28/10/2015 | 01 Le sujet | 04 Le désir | Peut-on désirer sans souffrir ? | INTRODUCTION : Toute la recherche de l’Inde antique est dans cette question. RÉPONSE HINDOUISTE : La réponse hindouiste et la mort nécessaire du désir. La voie de l’ascèse extrême. RÉPONSE BOUDDHISTE : La réponse bouddhiste et la voie du juste milieu : un désir modéré et une absence de désir modérée, clef de la disparition des souffrances. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Les quatre niveaux du désir de l’homme et la nécessité de les connaître et de ne pas les mépriser. Aristote : la vertu est dans le juste milieu. Application au désir de béatitude, qui se transforme en une acceptation du bonheur simple. CONCLUSION : Voltaire, « Candide » : « Le bonheur est auprès de son arbre. Il faut cultiver son jardin. ». | 00:37:00 |
29/11/2015 | 01 Le Sujet | 04 Le désir | Le désir suppose-t-il la connaissance préalable de son objet ? | INTRODUCTION : Un sujet de philosophie du vivant qui touche tous les degrés de vie. Il a des conséquences pratiques pour se connaître. PREMIÈRE PARTIE : Dans la philosophie réaliste d’Aristote : c’est la connaissance de l’objet qui donne à l’affectivité l’objet vers lequel elle se porte. DEUXIÈME PARTIE : La découverte de l’inconscient avec saint Augustin dans les confessions, C. G. Jung, Freud. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Les désirs naturels et innés de nos facultés. Le désir en acte de l’opération vitale face à son objet. Analyse par des exemples tirés des 4 degrés de vie. CONCLUSION : La philosophie réaliste se construit face au réel. | 00:25:00 |
25/11/2015 | 01 Le sujet | 04 Le désir | Pourquoi désirer ce qui n'est pas nécessaire ? | INTRODUCTION : Un sujet particulièrement d’actualité en ces temps de prise de conscience écologique.
PREMIÈRE PARTIE : Psychologie : quatre notions, les besoins, les désirs, les convoitises, les volontés spirituelles.
DEUXIÈME PARTIE : Politique : le monde est assez grand pour les désirs de l’homme, pas pour ses convoitises. Pourquoi l’homme désire-t-il toujours plus ?
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Ethique : Désirer ce qui n’est pas nécessaire fait la richesse de l’homme quand c’est un bien spirituel (connaissances, beauté, amitié, sagesse). Désirer ce qui n’est pas nécessaire fait le malheur de l’homme quand ce sont des biens matériels, pris comme des absolus et non des moyens modérés.
CONCLUSION : Attention de ne pas jeter l’inutile spirituel, au prétexte que l’inutile matériel ruine le monde. Exemple : Les dégâts matérialistes du communisme au Tibet.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Un sujet particulièrement d’actualité en ces temps de prise de conscience écologique. PREMIÈRE PARTIE : Psychologie : quatre notions, les besoins, les désirs, les convoitises, les volontés spirituelles. DEUXIÈME PARTIE : Politique : le monde est assez grand pour les désirs de l’homme, pas pour ses convoitises. Pourquoi l’homme désire-t-il toujours plus ? RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Ethique : Désirer ce qui n’est pas nécessaire fait la richesse de l’homme quand c’est un bien spirituel (connaissances, beauté, amitié, sagesse). Désirer ce qui n’est pas nécessaire fait le malheur de l’homme quand ce sont des biens matériels, pris comme des absolus et non des moyens modérés. CONCLUSION : Attention de ne pas jeter l’inutile spirituel, au prétexte que l’inutile matériel ruine le monde. Exemple : Les dégâts matérialistes du communisme au Tibet. |
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25/10/2015 | 01 Le sujet | 05 L'existence et le temps | Que signifie « être » ? | INTRODUCTION : Un sujet de métaphysique. PREMIÈRE PARTIE : « Être » est ce qu’il y a de commun entre un atome, un caillou, un microbe, un homme. Distinction avec « vivre ». Au plan de l’être, on est ou on n’est pas : entre le gland et le chêne, entre l’embryon et l’adulte, il n’y a pas de différence : ils sont. DEUXIÈME PARTIE : « Être en acte », être dans sa perfection. A ce niveau, entre le gland et le chêne, entre l’embryon et l’adulte, il y a une différence : l’un est en devenir, l’autre est en perfection. TROISIÈME PARTIE : La personne humaine, l’être le plus parfait de l’univers visible. Comparaison avec l’être de l’animal. Le problème de la destruction des êtres, y compris la personne humaine. CONCLUSION : Rien n’empêche que quelque part, dans ce qui est invisible de l’univers, existe un être plus parfait que la personne humaine. | 00:36:00 |
05/12/2015 | 01 Le sujet | 05 L'existence et le temps | Tout a-t-il une raison d'être ? | INTRODUCTION : Un sujet qui implique une dimension de sagesse. PREMIÈRE PARTIE : Dans une perspective matérialiste (la pensée de Huxley) : tout est dû au hasard, sans aucune finalité. Rejet du principe anthropique. DEUXIÈME PARTIE : Dans les perspectives religieuses : l’exemple du christianisme. Tout a un sens et est ordonné par le créateur en vue d’un salut éternel. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Sans faire appel à ces sagesses, il peut exister une volonté morale de faire de chaque expérience un progrès, un apprentissage. | 00:19:00 |
14/10/2015 | 01 Le Sujet | 05 L'existence et le Temps | La vie oscille, tel un pendule, de la souffrance à l'ennui - Schopenhauer | INTRODUCTION : Nous nous contenterons de regarder la vie des peuples riches (Madame Bovary plutôt que l’homme en famine habitant le Sahel). Les peuples qui vivent dans le luxe matériel sont-ils condamnés à vivre cette citation au plan spirituel ? PREMIÈRE PARTIE : Est-ce vrai pour tout homme, toute femme ? Non : cela ne concerne pas ceux qui vivent dans le présent (surtout les jeunes), et ceux qui vivent dans l’espoir d’un avenir. Cela concerne ceux qui vivent dans le passé ou dans un présent insensé, sans espoir pour le futur (de plus en plus quand on vieillit). Le roi Salomon et le livre de Qohelet. Le chemin étrange de l’humanisme sans espérance. Le livre de la Sagesse 2. DEUXIÈME PARTIE : La cause profonde : Les 4 degrés de la vie pratique de l’homme et la famine du 4° degré (mystique) dans nos sociétés riches et matérialistes. Les 4 causes de l’angoisse. CONCLUSION : Réponse à la question : Prouver que l’homme est bien plus que ce corps. | 00:45:00 |
25/11/2011 | 01 Le sujet | 05 L'existence et le Temps | Faut-il vivre comme si nous ne devions jamais mourir ? | INTRODUCTION : Un sujet qui touche à la sagesse, c’est-à-dire à la science du sens de la vie. ANTITHÈSE : L’humanisme athée : vivre joyeusement (Carpe Diem) parce que nous allons mourir. Le livre de la Sagesse 2. THÈSE : La religion de l’Egypte antique : vivre droitement parce que nous allons mourir et être jugés. Ecclésiaste 12. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : La pensée de la mort ne peut être évacuée que dans l’activité au jour le jour. Celui qui croit la dominer dans l’athéisme est rattrapé par l’angoisse de la vanité de toute chose dans sa vieillesse. Celui qui vit dans l’espérance d’une vie après la mort rajeunit dans sa vieillesse. CONCLUSION : Le tragique du destin humain : savoir qu’on va mourir et être fait pour vivre. La vie n’est finalement qu’une longue préparation à bien mourir. | 00:19:00 |
26/10/2015 | 02 La culture | 01 Le langage | Le langage trahit-il la pensée ? | INTRODUCTION : Un sujet de philosophie critique, difficile à traiter de manière réaliste à une époque où certains pensent que ce sont les mots qui font la pensée et la réalité. L’exemple du mot « race », du mot « aveugle » PREMIÈRE PARTIE : La théorie réaliste de la réalité, de la connaissance, du langage articulé et de l’écrit. Les dégradations successives et fatales d’une étape à l’autre. DEUXIÈME PARTIE : Y a-t-il des cas où le mot ne trahit pas la pensée ? Oui : dans l’art de la musique du mot, là où il n’y a pas de pensée mais juste un chant du son. Exemple de poésie de ce genre. Exemple : Baudelaire, la chevelure CONCLUSION : Les deux yeux du hibou, symbole de la philosophie : humilité et sens critique. | 00:19:00 |
15/11/2013 | 02 La culture | 01 Le langage | Serait-il souhaitable que l'humanité parle une seule langue ? | INTRODUCTION : Analyser les deux sens de l’expression « parler une seule langue » : La langue extérieure (latin, anglais) : Cet outil viendra bientôt par l’informatique puis, plus tard, par la mondialisation des échanges ; 2° la langue intérieure (la concorde).
AVANTAGE : Le mythe de la tour de Babel, illustration puissante de cette question : Se comprendre, efficacité dans l’action.
INCONVÈNIENT : L’orgueil politique et moral, le totalitarisme impérialiste.
CONCLUSION : Tout outil doit être mesuré sur une balance avantages/risques.
PHILOSOPHIE REALISTE INTRODUCTION : Analyser les deux sens de l’expression « parler une seule langue » : La langue extérieure (latin, anglais) : Cet outil viendra bientôt par l’informatique puis, plus tard, par la mondialisation des échanges ; 2° la langue intérieure (la concorde). AVANTAGE : Le mythe de la tour de Babel, illustration puissante de cette question : Se comprendre, efficacité dans l’action. INCONVÈNIENT : L’orgueil politique et moral, le totalitarisme impérialiste. CONCLUSION : Tout outil doit être mesuré sur une balance avantages/risques. |
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20/10/2015 | 02 La culture | 02 L'art | Les oeuvres d'art sont-elles des réalités comme les autres ? | INTRODUCTION : Nous parlons des beaux-arts, pas des arts utilitaires.
PREMIÈRE PARTIE : Qu’est-ce qui spécifient les œuvres d’art ? Elles proviennent de l’inspiration d’un homme. Donc, en les comprenant, elles révèlent quelque chose de l’artiste.
DEUXIÈME PARTIE : Parmi les immenses réalités du monde, quand on trouve une œuvre d’art sur une planète, on y trouve leur auteur. L’exemple des Sondes Voyager. Les œuvres d’art sont plus ou moins capables de profondeur selon qu’elles infèrent de l’être humain (physique, psychologique, spirituel, mystique). Quelques exemples.
CONCLUSION : Mais, coupées de leurs auteurs vivants, les œuvres d’art peuvent devenir des lettres mortes. L’exemple des grottes préhistoriques.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Nous parlons des beaux-arts, pas des arts utilitaires. PREMIÈRE PARTIE : Qu’est-ce qui spécifient les œuvres d’art ? Elles proviennent de l’inspiration d’un homme. Donc, en les comprenant, elles révèlent quelque chose de l’artiste. DEUXIÈME PARTIE : Parmi les immenses réalités du monde, quand on trouve une œuvre d’art sur une planète, on y trouve leur auteur. L’exemple des Sondes Voyager. Les œuvres d’art sont plus ou moins capables de profondeur selon qu’elles infèrent de l’être humain (physique, psychologique, spirituel, mystique). Quelques exemples. CONCLUSION : Mais, coupées de leurs auteurs vivants, les œuvres d’art peuvent devenir des lettres mortes. L’exemple des grottes préhistoriques. |
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14/10/2015 | 02 La culture | 02 l'Art | Peut-on aimer une oeuvre d'art sans la comprendre ? | INTRODUCTION : Nous parlons des beaux-arts produits de l’homme, pas des arts utilitaires. Il y aura aussi une recherche sur l’univers, à titre de création artistique.
ANTITHÈSE : La problématique de l’art abstrait, volontairement sans signification. Paradoxalement, l’arrivée par ce biais d’un art élitiste, plein d’intellectualisme. La fuite du public. Quelques exemples. L’art à public restreint, boursoufflé d’intellectualisme (l’exemple du sketch des Inconnus).
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : L’origine de l’art : l’inspiration de l’auteur. Mais l’œuvre en est coupée. Faut-il la retrouver ? Pas nécessairement : Le choc d’une œuvre d’art est d’abord dans un ressenti, pas dans une analyse. L’exemple du matin sur la montagne. Plus l’émotion suscitée est profonde, plus le choc de la beauté est intense. L’intelligence doit y être touché, mais dans un acte de contemplation simple.
TROISIÈME PARTIE : Le cas particulier des maths face à une démonstration et de la science face au réel, pris comme « œuvre d’un Artiste ».
CONCLUSION : Retrouver un art pleinement humain, c’est-à-dire non abstrait de la sensibilité et de l’intelligence profonde.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Nous parlons des beaux-arts produits de l’homme, pas des arts utilitaires. Il y aura aussi une recherche sur l’univers, à titre de création artistique. ANTITHÈSE : La problématique de l’art abstrait, volontairement sans signification. Paradoxalement, l’arrivée par ce biais d’un art élitiste, plein d’intellectualisme. La fuite du public. Quelques exemples. L’art à public restreint, boursoufflé d’intellectualisme (l’exemple du sketch des Inconnus). RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : L’origine de l’art : l’inspiration de l’auteur. Mais l’œuvre en est coupée. Faut-il la retrouver ? Pas nécessairement : Le choc d’une œuvre d’art est d’abord dans un ressenti, pas dans une analyse. L’exemple du matin sur la montagne. Plus l’émotion suscitée est profonde, plus le choc de la beauté est intense. L’intelligence doit y être touché, mais dans un acte de contemplation simple. TROISIÈME PARTIE : Le cas particulier des maths face à une démonstration et de la science face au réel, pris comme « œuvre d’un Artiste ». CONCLUSION : Retrouver un art pleinement humain, c’est-à-dire non abstrait de la sensibilité et de l’intelligence profonde. |
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20/10/2015 | 02 La culture | 02 L'art | L'art, est-ce ce qui ne sert à rien ? | INTRODUCTION : On parle ici des beaux-arts. L’art utilitaire sert à quelque chose, par définition.
PREMIÈRE PARTIE : Distinction entre ce qui sert à l’homme (ses besoins) et ce qui fait l’homme et le distingue des animaux (sa vie spirituelle) : connaître pour connaître, aimer pour aimer, voir le beau, chercher le sens ultime de cette vie.
DEUXIÈME PARTIE : Ceux qui voulurent détruire ce qui ne sert à rien : Pol Pot et le corps de ballet du Cambodge, Les talibans et les bouddhas de Bamiyan, Mao et la distinction homme/femme, Staline et les Icônes orthodoxes. Ce sont principalement les idéologies matérialistes exaltant les réussites matérielles et les fanatismes qui exaltant Dieu contre l’homme.
CONCLUSION : Mais attention de ne pas appeler n’importe quoi de l’art.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : On parle ici des beaux-arts. L’art utilitaire sert à quelque chose, par définition. PREMIÈRE PARTIE : Distinction entre ce qui sert à l’homme (ses besoins) et ce qui fait l’homme et le distingue des animaux (sa vie spirituelle) : connaître pour connaître, aimer pour aimer, voir le beau, chercher le sens ultime de cette vie. DEUXIÈME PARTIE : Ceux qui voulurent détruire ce qui ne sert à rien : Pol Pot et le corps de ballet du Cambodge, Les talibans et les bouddhas de Bamiyan, Mao et la distinction homme/femme, Staline et les Icônes orthodoxes. Ce sont principalement les idéologies matérialistes exaltant les réussites matérielles et les fanatismes qui exaltant Dieu contre l’homme. CONCLUSION : Mais attention de ne pas appeler n’importe quoi de l’art. |
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15/11/2016 | 02 La culture | 02 L'Art | L'artiste ne doit-il être jugé que par son art ? | INTRODUCTION : Nous parlons des beaux-arts. Un sujet d’actualité face à des pièces de théâtre polémiques.
PREMIÈRE PARTIE : L’autonomie de l’art, comme opération humaine, finalisée par l’œuvre et portée par l’inspiration de l’artiste.
DEUXIÈME PARTIE : Mais l’artiste est aussi, un homme complet, vivant dans une société, avec une histoire. L’exemple des dessins humoristiques de Harakiri sur la mort d’enfants à Beaune dans un car. L’exemple de l’art Nazi, de l’art communiste, de l’art blasphémateur : le crucifix.
CONCLUSION : Cependant, l’art garde son autonomie. Ce qui est extérieur à l’art ne doit interférer que modérément.
PHILOSOPHIE REALISTE INTRODUCTION : Nous parlons des beaux-arts. Un sujet d’actualité face à des pièces de théâtre polémiques. PREMIÈRE PARTIE : L’autonomie de l’art, comme opération humaine, finalisée par l’œuvre et portée par l’inspiration de l’artiste. DEUXIÈME PARTIE : Mais l’artiste est aussi, un homme complet, vivant dans une société, avec une histoire. L’exemple des dessins humoristiques de Harakiri sur la mort d’enfants à Beaune dans un car. L’exemple de l’art Nazi, de l’art communiste, de l’art blasphémateur : le crucifix. CONCLUSION : Cependant, l’art garde son autonomie. Ce qui est extérieur à l’art ne doit interférer que modérément. |
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09/12/2015 | 02 La culture | 02 L'Art | Peut-on faire n'importe quoi en art ? | INTRODUCTION : Un plan spécial car, en art, peut-on juger des goûts et des couleurs ?
ANTITHÈSE : Pour certains critiques d’art, Les Beaux-arts sont mesurés par la seule créativité de l’artiste, par son imagination. Fondé sur ce principe, on voit apparaître aux XIX° et XX° s. toutes sortes de créations artistiques. Petite histoire de l’abstraction : Abstraction du trait précis, abstraction de la forme, abstraction de la signification, entrée volontaire dans l’absurdité, la moquerie, la provocation.
THÈSE : Cette conception de l’art peut devenir une idole. Le surgissement de toutes les perversions humaines à travers l’art. Les artistes criminels, les artistes financiers surfant sur la vanité des connaisseurs élitistes.
CONCLUSION : A chacun de juger si l’art peut totalement se séparer de l’humanité dont fait partie l’artiste.
PHILOSOPHIE REALISTE : br>INTRODUCTION : Un plan spécial car, en art, peut-on juger des goûts et des couleurs ? ANTITHÈSE : Pour certains critiques d’art, Les Beaux-arts sont mesurés par la seule créativité de l’artiste, par son imagination. Fondé sur ce principe, on voit apparaître aux XIX° et XX° s. toutes sortes de créations artistiques. Petite histoire de l’abstraction : Abstraction du trait précis, abstraction de la forme, abstraction de la signification, entrée volontaire dans l’absurdité, la moquerie, la provocation. THÈSE : Cette conception de l’art peut devenir une idole. Le surgissement de toutes les perversions humaines à travers l’art. Les artistes criminels, les artistes financiers surfant sur la vanité des connaisseurs élitistes. CONCLUSION : A chacun de juger si l’art peut totalement se séparer de l’humanité dont fait partie l’artiste. |
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31/12/9999 | 02 La culture | 02 L'Art | Face aux ordinateurs, la médecine restera-t-elle un art et une relation? | INTRODUCTION : Des logiciels et les big Data permettront bientôt de poser des diagnostiques automatisés. A quoi servira alors le médecin ? PREMIÈRE PARTIE : Il existe deux conceptions de la médecine : Celle qui soigne « un foie, une rate » ; celle qui soigne un homme. C’est le second modèle « holistique » qui est le bon. Il est donc essentiel de connaître l’objet de la médecine : « un homme qu’on veut guérir » selon ses quatre dimensions : 1° Biologique ; 2° sensible ; 3° intellectuelle et morale ; 4° Mystique et portant sur son besoin de trouver un sens ultime à sa vie. Application concrète de ces quatre niveaux à l’exemple de l’ulcère de l’estomac. DEUXIÈME PARTIE : Les logiciels et les big Data ne pourront jamais mettre en équation une telle subtilité qui relève aussi de la finesse et pas seulement des sciences dures. TROISIÈME PARTIE : En conséquence, on doit dire que, quoiqu’il arrive, la médecine restera non seulement une science mais aussi un art (qui lie cause, effet et remède) et une relation humaine. QUATRIÈME PARTIE : Un diagnostic qualitatif ne pourra pas exister sans la compréhension dynamique et relationnelle de la personne tout entière. CONCLUSION : La médecine ne trouvera dans les big Data un assistant très efficace pour diagnostiquer traiter la dimension biologique, mais simplement une béquille pour rendre la santé à un être humain. | 00:28:00 |
27/10/2015 | 02 La culture | 03 Le travail et la technique | Le développement technique transforme-t-il les hommes ? | INTRODUCTION : De quelle transformation parle-t-on ? Transformation de la vie pratique ou transformation de la nature humaine ? Un sujet qui ne peut se contenter du passé. Il doit s’engager dans la prospective.
THÈSE : La guerre 14, le smartphone montrent que le progrès technique n’a fait jusqu’ici que conditionner la nature humaine. Les idéologies n’y sont pas plus arrivées. L’exemple d’Auguste Conte et de la fin des questions sur le sens. L’exemple de Mao et de l’unisexe.
ANTITHESE : La nature humaine sera changée : sur Internet, les annonces apocalyptiques de l’homme au cerveau bionique : théorie du complot avec les puces RFID. Les projets de Google (apprentissage des langues, de la culture et des sciences) ne visent pas pour le moment la nature humaine.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Les progrès de la génétique laissent envisager de vrais changements de la nature humaine, impliquant le meilleur et le pire (la prise en main de la liberté, la chimie du cerveau). Une seule chose est à jamais inaccessible : le rêve de la vie éternelle.
CONCLUSION : Retrouver et respecter ce qui est pleinement humain, une personne libre, homme et femme, famille. Attentions aux apprentis sorciers.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : De quelle transformation parle-t-on ? Transformation de la vie pratique ou transformation de la nature humaine ? Un sujet qui ne peut se contenter du passé. Il doit s’engager dans la prospective. THÈSE : La guerre 14, le smartphone montrent que le progrès technique n’a fait jusqu’ici que conditionner la nature humaine. Les idéologies n’y sont pas plus arrivées. L’exemple d’Auguste Conte et de la fin des questions sur le sens. L’exemple de Mao et de l’unisexe. ANTITHESE : La nature humaine sera changée : sur Internet, les annonces apocalyptiques de l’homme au cerveau bionique : théorie du complot avec les puces RFID. Les projets de Google (apprentissage des langues, de la culture et des sciences) ne visent pas pour le moment la nature humaine. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Les progrès de la génétique laissent envisager de vrais changements de la nature humaine, impliquant le meilleur et le pire (la prise en main de la liberté, la chimie du cerveau). Une seule chose est à jamais inaccessible : le rêve de la vie éternelle. CONCLUSION : Retrouver et respecter ce qui est pleinement humain, une personne libre, homme et femme, famille. Attentions aux apprentis sorciers. |
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29/10/2015 | 02 La culture | 04 La religion | La philosophie peut-elle parler de la religion ? | INTRODUCTION : Un sujet polémique dans la laïcité française, que l’on confond souvent avec expulsion de ce sujet de la sphère publique. PREMIÈRE PARTIE : La question de la sagesse, à l’origine de la philosophie (sophia). Elle est une dimension essentielle de l’homme. Elle ne peut échapper à la philosophie qui n’exclut aucune question. DEUXIÈME PARTIE : Y a-t-il une réponse philosophique à cette question ? L’athéisme, l’agnosticisme et le déisme. Les voies ontologistes vers un créateur (Saint Anselme, Descartes). Les voies par la causalité efficiente (Frère Bogdanov, Oparine, Einstein). La voie par les NDE pour la question de la survie de l’âme. TROISIÈME PARTIE : La philosophie face aux religions révélées et face aux croyances. Peut-elle en parler ? De l’existence de ces religions, oui. Du contenu de leur croyance est extérieur à son objet : non, sauf à titre d’intérêt culturel. CONCLUSION : Attention au rejet de la question religieuse de la philosophie. Cette frustration provoque un retour de bâton violent par des croyances non rationnelles. | 00:37:00 |
22/10/2015 | 02 La culture | 04 La religion | Peut-on accorder une valeur à une croyance que l'on ne partage pas ? | INTRODUCTION : Le statut de la croyance en philosophie réaliste : une opinion. Trois sortes de croyances : l’hypothèse non vérifiée, le témoignage non reproductible et la foi religieuse. PREMIÈRE PARTIE : L’hypothèse scientifique non vérifiée. Nécessité de lui accorder une valeur et de la vérifier par l’expérimentation, jusqu’à acceptation ou réfutation. Exemple d’Einstein, de l’homéopathie. DEUXIÈME PARTIE : Le témoignage non reproductible. L’exemple de l’arche de Noé et du monstre du Loch Ness. L’exemple des NDE. TROISIÈME PARTIE : La foi religieuse. L’exemple du comportement de l’Eglise catholique avec les autres religions (Nostra Aetate). Le baiser du pape Jean-Paul II sur le Coran. CONCLUSION : L’humilité devant le réel et le sens critique devant sa propre capacité de connaître sont les deux yeux du philosophe. | 00:38:00 |
03/10/2015 | 02 La culture | 04 La religion | Les religions et les croyances ont-elles un sens face à la science moderne ? | Traiter ce sujet en lien avec les sciences de la vie et de la terre et en lien avec la physique. https://youtu.be/IQN2MoeEkfc INTRODUCTION : Poser l’importance du sujet et esquisser le plan. PREMIÈRE PARTIE : Le sujet est-il bien posé ? La religion est-elle toujours croyance ou peut-elle être rationnelle ? Les sciences modernes sont-elle le seul moyen d’user de sa raison ? DEUXIÈME PARTIE : Auguste Conte (1798-1857) a posé cette question TROISIÈME PARTIE : Réponse à la question : Prouver que l’homme est bien plus que ce corps biologique et la science de son fonctionnement. Autres auteurs cités : Igor et Grichka Bogdanoff nés en 1949, La Pensée de Dieu, (avec une postface de Luis Gonzalez-Mestres), éditions Grasset, Paris, juin 2012. Stanley Miller, USA (1930-2007). Alexandre Ivanovitch Oparine, Russie (1894-1980) Ludwig Feuerbach (1804-1872), Allemagne, L'Essence du christianisme (das Wesen des Christenthums), Leipzig 1841 | 00:35:00 |
13/11/2015 | 02 La culture | 04 La religion | La relation entre philosophie et religion dans la modernité | INTRODUCTION : Un sujet d’histoire de la philosophie, et non directement de philosophie. Mais il implique une connaissance de la psychologie des peuples. PREMIÈRE PARTIE : Cause : La libération de la pensée, de la vie, après les guerres de religion. Comment la Renaissance est en même temps l’époque du plus grand sectarisme des chrétiens. DEUXIÈME PARTIE : Effet en 6 étapes de laïcisation : 1° XVII° s, Le rejet dans les élites libertines de l’esclavage de l’autorité cléricale ; 2° XVIII° s, La volonté de décider soi-même des dogmes (La FM écossaise) ; 3° Le déisme et l’exaltation de sa seule raison pour découvrir un Créateur ; 4° XIX° s, L’athéisme et le rejet de l’esclavage de l’existence d’un Dieu ; 5° XX°s, Les utopies du bonheur et le rejet de l’esclavage de l’existence d’une nature humaine ; 6° XXI° s. La naissance de l’esclavage d’une vie privée de sens. CONCLUSION : 7° étape prévisible ? L’homme est un animal religieux : XXI° s, Le retour possible de la paix intérieure que donne l’espérance religieuse ? | 00:47:00 |
15/11/2015 | 02 La culture | 04 La religion | Est-il vrai que la plupart des guerres viennent des religions ? | INTRODUCTION : Presque tout le monde répond « oui » en Europe occidentale.
PREMIÈRE PARTIE : Etude historique sur l’origine des guerres, leur nombre comparé et le nombre de leurs morts. Pas d’étude sur le pourcentage des morts rapporté à la population de chaque époque.
DEUXIÈME PARTIE : Les deux grandes passions de l’homme : l’espoir politique et l’espérance religieuse après la mort. Lorsque les deux se mêlent (= millénarismes), le cocktail est explosif. L’Eglise catholique et la prise de conscience de ce danger des millénarismes dans le catéchisme de l’Eglise catholique 676 (antichristique).
TROISIÈME PARTIE : D’où vient cette impression profonde que la plupart des guerres viennent des religions ? Distinguer l’impact physique des guerres et leur impact psychologique. Comparaison entre l’attentat du 11 septembre 2001 et un jour de morts durant la guerre 14, la pédophilie des prêtres catholique et celle des pères de famille.
CONCLUSION : Pour le moment… Car nous sommes en 2015 à la veille d’une vraie guerre de religion de type millénariste. Analyse rapide du djihadisme et, face à lui, de l’humanisme sans Dieu occidental.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Presque tout le monde répond « oui » en Europe occidentale. PREMIÈRE PARTIE : Etude historique sur l’origine des guerres, leur nombre comparé et le nombre de leurs morts. Pas d’étude sur le pourcentage des morts rapporté à la population de chaque époque. DEUXIÈME PARTIE : Les deux grandes passions de l’homme : l’espoir politique et l’espérance religieuse après la mort. Lorsque les deux se mêlent (= millénarismes), le cocktail est explosif. L’Eglise catholique et la prise de conscience de ce danger des millénarismes dans le catéchisme de l’Eglise catholique 676 (antichristique). TROISIÈME PARTIE : D’où vient cette impression profonde que la plupart des guerres viennent des religions ? Distinguer l’impact physique des guerres et leur impact psychologique. Comparaison entre l’attentat du 11 septembre 2001 et un jour de morts durant la guerre 14, la pédophilie des prêtres catholique et celle des pères de famille. CONCLUSION : Pour le moment… Car nous sommes en 2015 à la veille d’une vraie guerre de religion de type millénariste. Analyse rapide du djihadisme et, face à lui, de l’humanisme sans Dieu occidental. |
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21/10/2013 | 02 La culture | 05 L'histoire | L'objectivité de l'histoire suppose-t-elle l'impartialité de l'historien ? | INTRODUCTION : L’exemple de notre époque : « L’homme qui oublie l’histoire se condamne à la revivre ». Comment est-ce appliqué ? PREMIÈRE PARTIE : Qu'est-ce la partialité d’un historien ? Jean Sévilla pointe six manières actuelles de falsifier l’histoire : Anachronisme, manichéisme, amnésie sélective, mensonge par omission, hypermnésie, esprit réducteur. Il y en a bien d’autres. DEUXIÈME PARTIE : Si cette objectivité est nécessaire, est-elle suffisante pour la vérité de l’histoire ? La qualité et la diversité des sources ; la méthode de collecte des sources (petite histoire, grande histoire, élites et peuple) ; L’humilité et le sens critique de l’historien. CONCLUSION : L’histoire est une discipline fragile. Il suffit de mettre en avant tel évènement à la place de tel autre. | 00:31:00 |
28/10/2015 | 02 La culture | 05 L'histoire | L'action politique doit-elle être guidée par la connaissance de l'histoire ? | INTRODUCTION : « L’homme qui ne connaît pas l’histoire se condamne à la revivre. » (Monument des martyrs de Lyon). ANTITHÈSE : Lorsque la connaissance de l’histoire ne guide qu’en apparence, accompagnée d’une idéologie orientée. L’exemple de la démocratie imposée par les armes, de l’immigration toujours une chance. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Quel doit être le vrai guide de la politique : la prudence politique, qui est une vertu de l’intelligence. Elle prend alors conseil de tout : la culture historique et ses leçons ; des principes politiques ; la conscience morale universelle à titre d’éclairage ; la recherche d’une efficacité ; la connaissance des circonstances. CONCLUSION : L’histoire est une science si fragile qu’elle devient facilement esclave des ambitions politiques du moment. | 00:27:00 |
13/11/2015 | 02 La culture | 05 L'histoire | Le plaisir est-il le moteur de l'histoire ? | INTRODUCTION : La question est en fait : « Le plaisir est-il le moteur de l’homme » puisque c’est l’humanité qui fait l’histoire.
THÈSE : Seul Sigmund Freud analyse le comportement de l’homme en termes de plaisir conscients ou inconscients. La vision Freudienne de l’histoire.
ANTITHÈSE : Karl Marx voit un autre moteur unique : l’argent.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : La complexité de l’homme et ses quatre niveaux pratiques (besoins physiques, désirs psychologiques, choix moraux, sens ultime de la vie). Tout cela influence les guerres, la paix et l’histoire toute entière. Tout cela est évidemment porter par la recherche du bonheur.
CONCLUSION : Le moteur invisible de l’Histoire : L’évolution pour les athées, la Providence pour les religieux.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : La question est en fait : « Le plaisir est-il le moteur de l’homme » puisque c’est l’humanité qui fait l’histoire. THÈSE : Seul Sigmund Freud analyse le comportement de l’homme en termes de plaisir conscients ou inconscients. La vision Freudienne de l’histoire. ANTITHÈSE : Karl Marx voit un autre moteur unique : l’argent. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : La complexité de l’homme et ses quatre niveaux pratiques (besoins physiques, désirs psychologiques, choix moraux, sens ultime de la vie). Tout cela influence les guerres, la paix et l’histoire toute entière. Tout cela est évidemment porter par la recherche du bonheur. CONCLUSION : Le moteur invisible de l’Histoire : L’évolution pour les athées, la Providence pour les religieux. |
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27/11/2015 | 02 La culture | 05 L'histoire | L'homme peut-il se passer de la question de Dieu ? | INTRODUCTION : Un sujet qui bouleverse l’actualité depuis 2001. Le XXI° siècle sera religieux ou ne sera pas ? ANTITHÈSE : La tentative Occidentale de la mort de Dieu à partir du XIX° s. L’exaltation de l’humanisme sans Dieu, à partir de mai 68. THÈSE : 50 ans plus tard, le resurgissement de Dieu : un « divinisme » sans hommes ! RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Ce basculement de Charybde en Sylla est significatif d’un excès. On le voit à chaque fois. L’homme peut-il vivre seulement de pain et de jeux ? Matthieu 4, 4 Mais il répondit : "Il est écrit : Ce n'est pas de pain seul que vivra l'homme, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu" (Deutéronome 8, 3). CONCLUSION : Faudra-t-il une religion laïque ? La démonstration d’une vie après la mort ? L’analyse de Feuerbach sur l’âme religieuse de l’homme et sa nature profonde. | 00:23:00 |
15/11/2015 | 02 La culture | 05 L'histoire | La science fait-elle disparaître les croyances ? | INTRODUCTION : Un sujet qui a été la prophétie principale d’Auguste Comte. PREMIÈRE PARTIE : L’objet et la raison formelle de la science, l’objet et la raison formelle de la croyance. La croyance en matière de science, la croyance en matière de sagesse. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : « Peu de science éloigne de la croyance religieuse. Beaucoup de science en rapproche ». Est-ce vrai ? Découvre-ton chaque jour, alors qu’on en sait davantage, qu’on ne sait rien ? CONCLUSION : L’humilité nécessaire face au peu de science de nos ancêtres mais à leur grande sagesse. | 00:18:00 |
12/10/2015 | 03 La raison et le réel | 01 La théorie et l'expérience | L'empirisme est-il identique au réalisme ? | PREMIÈRE PARTIE : Qu’est-ce que le réalisme ? Lorsque le maître de la pensée est le réel. Qu'est-ce que l’empirisme ? Théorie philosophique selon laquelle la connaissance que nous avons des choses dérive de l'expérience. Méthode reposant exclusivement sur l'expérience, sur les données et excluant les systèmes a priori. Manière de se comporter en tenant compte surtout des circonstances et sans principes arrêtés ; pragmatisme. DEUXIÈME PARTIE : L’empirisme dans la vie spéculative : apport et insuffisance. L’expérience d’Ignace Philippe Semmelweis sur l’accouchement : progrès et insuffisance. Aristote et la théorie de Ptolémée. L’exemple de l’homéopathie : l’effet placébo. L’exemple de la gravitation. L’empirisme seul ne donne qu’une description, établit des lois mais peut conduire à des erreurs d’interprétation des causes. Les puces entendent par les pattes ? La statistique sur le meilleur niveau culturel de ceux qui mangent de la salade. TROISIÈME PARTIE : L’empirisme dans la vie pratique (politique et éthique) : apport et insuffisance. La nécessité d’avoir des principes : La fin ne justifie pas tous les moyens. En éthique, l’exemple de l’adultère. L’exemple de la maman qui tua son bébé. En politique, l’exemple de la guerre d’Algérie. CONCLUSION : L’empirisme est, à cause de l’expérience, le point de départ du réalisme mais ne saurait s’identifier à lui. Le réel est bien plus grand que ce qui est accessible aux sens et à l’expérience. Il faut ajouter l’expérimentation qui vérifie en soumettant l’expérience à vérification, le raisonnement qui analyse et critique les causes possible. Il faut aussi en outre être ouvert à un réel invisible. | 00:45:00 |
27/11/2015 | 03 La raison et le réel | 01 La théorie et l'expérience | La philosophie, est-ce des paroles en l'air ? | INTRODUCTION : Un vrai débat qui pose la question du maintien du cours de philosophie en terminale.
ANTITHÈSE : La philosophie consiste en des paroles en l’air pour deux types de pensée : 1° la pensée religieuse exaltant l’Ecriture seule, où le travail de la raison est erreur ou mensonge ; 2° la pensée scientiste (positiviste) pour qui seul compte le « comment ça marche » de la matière et son efficacité.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : A partir des trois sens du mot « philosophie » : 1° Sagesse ; 2° Science du réel par l’usage de la raison ; 3° idéologies (système de pensée logique mais coupé du réel).
CONCLUSION : En revenir à la philosophie réaliste, pour restaurer cette matière essentielle à l’humanité.
PHILOSOPHIE REALISTE INTRODUCTION : Un vrai débat qui pose la question du maintien du cours de philosophie en terminale. ANTITHÈSE : La philosophie consiste en des paroles en l’air pour deux types de pensée : 1° la pensée religieuse exaltant l’Ecriture seule, où le travail de la raison est erreur ou mensonge ; 2° la pensée scientiste (positiviste) pour qui seul compte le « comment ça marche » de la matière et son efficacité. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : A partir des trois sens du mot « philosophie » : 1° Sagesse ; 2° Science du réel par l’usage de la raison ; 3° idéologies (système de pensée logique mais coupé du réel). CONCLUSION : En revenir à la philosophie réaliste, pour restaurer cette matière essentielle à l’humanité. |
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02/12/2012 | 03 La raison et le réel | 01 La théorie et l'expérience | Peut-on classer les sciences (épistémologie) ? | INTRODUCTION : Cette discipline s’appelle l’épistémologie.
PREMIÈRE PARTIE : Une épistémologie « scolaire » peut exister. Elle distingue deux groupes : Les sciences dures (ce qui se produit toujours maths, logique, physique, chimie etc.) et les sciences humaines (ce qui se produit la plupart du temps psychologie, morale, histoire, philosophie etc.). Des milliers de disciplines de plus en plus spécialisées seront ajoutées au fur et à mesure qu’elles spécialisent leur objet.
DEUXIÈME PARTIE : Une épistémologie « réaliste » peut exister. Elle distingue chaque discipline par son objet matériel et sa raison formelle. Elle classe des sciences du réel en des cercles qui s’imbriquent et forment des ensemble avec des sous-ensembles. Un ordre et une hiérarchie apparaissent.
CONCLUSION : Ces deux ordres peuvent s’inter-féconder mais le second est le propre du philosophe qui met de l’ordre.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Cette discipline s’appelle l’épistémologie. PREMIÈRE PARTIE : Une épistémologie « scolaire » peut exister. Elle distingue deux groupes : Les sciences dures (ce qui se produit toujours maths, logique, physique, chimie etc.) et les sciences humaines (ce qui se produit la plupart du temps psychologie, morale, histoire, philosophie etc.). Des milliers de disciplines de plus en plus spécialisées seront ajoutées au fur et à mesure qu’elles spécialisent leur objet. DEUXIÈME PARTIE : Une épistémologie « réaliste » peut exister. Elle distingue chaque discipline par son objet matériel et sa raison formelle. Elle classe des sciences du réel en des cercles qui s’imbriquent et forment des ensemble avec des sous-ensembles. Un ordre et une hiérarchie apparaissent. CONCLUSION : Ces deux ordres peuvent s’inter-féconder mais le second est le propre du philosophe qui met de l’ordre. |
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03/12/2015 | 03 La raison et le réel | 01 La théorie et l'expérience | L'homme a-t-il raison de se méfier de la science ? | INTRODUCTION : Deux analogués du mot « science » : la science spéculative qui cherche à connaître pour connaître, la science pratique qui crée des techniques à l’usage d’une efficacité. PREMIÈRE PARTIE : Faut-il se méfier de la science spéculative, de la recherche de la connaissance ? Deux cas significatifs : lorsque la science devient dogmatique, par l’orgueil des mandarins. La méfiance des croyants fondamentalistes vis-à-vis des sciences est-elle légitime ? DEUXIÈME PARTIE : Faut-il se méfier des sciences pratiques ? Une technologie est comme un couteau. L’homme s’en servira pour le mal ou pour le bien. Le danger extrême des techniques potentiellement destructrices : nucléaire, génie chimique, génie génétique. CONCLUSION : La recherche de la vérité est toujours bonne. Par contre, les sciences appliquées doivent être accompagnées de prudence et de sagesse. | 00:35:00 |
09/10/2015 | 03 La raison et le réel | 01 Théorie et expérience | La philosophie est-elle utile ? | INTRODUCTION : Crise actuelle de la philosophie en Terminale et en université. PREMIÈRE PARTIE : Les divers sens du mot « philosophie » Petite histoire de la philosophie, fondatrice des sens du mot : Elle fut sagesse chez les anciens, elle devint science avec Aristote, elle fut mise au service de la Révélation avec saint Albert le grand et Avicenne, avant de subir la crise des « professeurs/répétiteurs ». Elle subit la crise des idéologies après Descartes. Elle est aujourd’hui confondue avec l’histoire des systèmes de pensée. DEUXIÈME PARTIE : Comment guérir la philosophie : Qu’elle redevienne science et sagesse. Qu’elle entre dans son âge adulte, à sa juste place vis-à-vis des sciences positives et sans se moquer des théologies révélées. Conclusion : A partir de la LETTRE ENCYCLIQUE FIDES ET RATIO DU SOUVERAIN PONTIFE JEAN-PAUL II : L’espoir d’une harmonie adulte entre Science moderne, philosophie et religions révélées, chacune dans son domaine. APPROCHE REALISTE INTRODUCTION : Crise actuelle de la philosophie en Terminale et en université. PREMIÈRE PARTIE : Les divers sens du mot « philosophie » Petite histoire de la philosophie, fondatrice des sens du mot : Elle fut sagesse chez les anciens, elle devint science avec Aristote, elle fut mise au service de la Révélation avec saint Albert le grand et Avicenne, avant de subir la crise des « professeurs/répétiteurs ». Elle subit la crise des idéologies après Descartes. Elle est aujourd’hui confondue avec l’histoire des systèmes de pensée. DEUXIÈME PARTIE : Comment guérir la philosophie : Qu’elle redevienne science et sagesse. Qu’elle entre dans son âge adulte, à sa juste place vis-à-vis des sciences positives et sans se moquer des théologies révélées. Conclusion : A partir de la LETTRE ENCYCLIQUE FIDES ET RATIO DU SOUVERAIN PONTIFE JEAN-PAUL II : L’espoir d’une harmonie adulte entre Science moderne, philosophie et religions révélées, chacune dans son domaine. | 00:41:00 |
10/10/2015 | 03 La raison et le réel | 01 Théorie et expérience | Philosopher, est-ce être un résistant ? | INTRODUCTION : Le caractère subjectif du mot « Résister » : le résistant d’aujourd’hui est souvent le terroriste d’hier. PREMIÈRE PARTIE : Situer ce sujet dans notre époque : Quelle est sa pensée dominante ? « Apocalypse 13, 17 et nul ne pourra rien acheter ni vendre s'il n'est marqué au nom de la Bête ou au chiffre de son nom. » DEUXIÈME PARTIE : En fonction de chaque sens du mot, la philosophie peut impliquer résistance ou soumission selon les époques. 1° Philosophie dans le sens étymologique « recherche du sens de cette vie ». 2° Philosophie dans le sens de Socrate : « rechercher la vérité par sa raison ». 3° Philosophie dans le sens idéologique : « exalter un système de pensée ». TROISIÈME PARTIE : De nos jours, être philosophe implique une révolte face à la pensée unique et peut conduire au martyre ou à la victoire sur le conformisme. APPROCHE REALISTE : INTRODUCTION : Le caractère subjectif du mot « Résister » : le résistant d’aujourd’hui est souvent le terroriste d’hier. PREMIÈRE PARTIE : Situer ce sujet dans notre époque : Quelle est sa pensée dominante ? « Apocalypse 13, 17 et nul ne pourra rien acheter ni vendre s'il n'est marqué au nom de la Bête ou au chiffre de son nom. » DEUXIÈME PARTIE : En fonction de chaque sens du mot, la philosophie peut impliquer résistance ou soumission selon les époques. 1° Philosophie dans le sens étymologique « recherche du sens de cette vie ». 2° Philosophie dans le sens de Socrate : « rechercher la vérité par sa raison ». 3° Philosophie dans le sens idéologique : « exalter un système de pensée ». TROISIÈME PARTIE : De nos jours, être philosophe implique une révolte face à la pensée unique et peut conduire au martyre ou à la victoire sur le conformisme. | 00:49:00 |
15/10/2015 | 03 La raison et le réel | 01 Théorie et expérience | Quand la philosophie est-elle née ? | INTRODUCTION : On se bornera à la philosophie en Occident. En extrême Orient, on doit honorer Confucius (551 à 479 av. J.-C) et Bouddha. Tout dépend du sens qu’on donne au mot « philosophie ». PREMIÈRE PARTIE : « Philosophie » au sens d’amour de la Sagesse : elle nait avec Homo Sapiens. Quelles preuves en a-t-on ? Qu’en est-il de l’homme de Neandertal ? DEUXIÈME PARTIE : « Philosophie » au sens de « raison critique » : Hésiode (7° s. av JC). TROISIÈME PARTIE : « Philosophie » au sens de « science du réel » : Socrate (470-399 av JC), Platon (428-347 av. J.-C), Aristote (384-322 av. J.-C.). QUATRIÈME PARTIE : D’autres revendications existent dont les philosophes du soupçon qui mettent la naissance de la philosophie avec Ludwig Feuerbach (1804-1872) et de son livre fondateur de l’athéisme moderne : « L’essence du christianisme » (1841). CONCLUSION : La philosophie est-elle née dans l’Antiquité avec la sagesse et le réalisme ou à l’époque moderne avec l’exaltation matérialiste et athée de l’homme comme maître de son destin ? Ces deux revendications seront en conflit tant que l’homme existera. APPROCHE REALISTE : INTRODUCTION : On se bornera à la philosophie en Occident. En extrême Orient, on doit honorer Confucius (551 à 479 av. J.-C) et Bouddha. Tout dépend du sens qu’on donne au mot « philosophie ». PREMIÈRE PARTIE : « Philosophie » au sens d’amour de la Sagesse : elle nait avec Homo Sapiens. Quelles preuves en a-t-on ? Qu’en est-il de l’homme de Neandertal ? DEUXIÈME PARTIE : « Philosophie » au sens de « raison critique » : Hésiode (7° s. av JC). TROISIÈME PARTIE : « Philosophie » au sens de « science du réel » : Socrate (470-399 av JC), Platon (428-347 av. J.-C), Aristote (384-322 av. J.-C.). QUATRIÈME PARTIE : D’autres revendications existent dont les philosophes du soupçon qui mettent la naissance de la philosophie avec Ludwig Feuerbach (1804-1872) et de son livre fondateur de l’athéisme moderne : « L’essence du christianisme » (1841). CONCLUSION : La philosophie est-elle née dans l’Antiquité avec la sagesse et le réalisme ou à l’époque moderne avec l’exaltation matérialiste et athée de l’homme comme maître de son destin ? Ces deux revendications seront en conflit tant que l’homme existera. | 00:00:00 |
17/10/2015 | 03 La raison et le réel | 01 Théorie et expérience | Qu'est-ce que la philosophie du soupçon ? | INTRODUCTION : Ce que c’est. PREMIÈRE PARTIE : Histoire de cette pensée. Son origine première : René Descartes initia le soupçon en philosophie en jetant un doute méthodologique sur la capacité des sensations d’atteindre le réel. Il ouvre une porte. A sa suite, on associe au terme de soupçon trois philosophes en règle générale : 1° Feuerbach a tenté de lever le voile sur les illusions du christianisme. Il est popularisé par Nietzsche qui d’annonce la mort de Dieu et de prédit l’arrivée du Surhomme. Le soupçon de Nietzsche concerne les croyances de l’homme. 2° Marx de son côté, met le soupçon sur le fonctionnement de la société, en dénonçant la domination bourgeoise, aux dépens des classes exploitées et travailleuses. Le soupçon de Marx est social. 3° Huxley montre que l’homme n’est qu’un animal issu des animaux. Freud le théorise et montre que l’homme est en fait mené par son inconscient. Le soupçon de Freud et sa théorie du ça, du moi et du surmoi porte sur la personne humaine et son illusion d’être maître de lui. A eux trois, ils ont bouleversé le champ social, religieux et métaphysique. Ils partagent donc le même esprit soupçonneux. DEUXIÈME PARTIE : La mort des philosophies du soupçon grâce au retour du réel : «Apocalypse 12, 16 Mais la terre vint au secours de la Femme ». Les fruits amers et la mort annoncée de cette pensée : l’envie de ne plus exister. Il a fallu plus d’un siècle et l’expérience. Marx tué par la ruine du communisme ; Freud tué par le réalisme de Michel Onfray. Feuerbach tué par la soif de Dieu et le doute sur la capacité du hasard de produire une nature si structurée. | 00:57:00 |
13/10/2015 | 03 La raison et le réel | 01 Théorie et expérience | Quelle est la différence entre la philosophie et la psychologie ? | INTRODUCTION : Plusieurs sens de ces mots. Nous sommes ici en philosophie réaliste. PREMIÈRE PARTIE : Définition du réel, puis de la philosophie réaliste à partir de son objet matériel et de sa raison formelle. Les sept grandes parties de la philosophie, dont la philosophie du vivant. Comment le réel est structure en ce qui universel, ce qui est général et ce qui est particulier. DEUXIÈME PARTIE : La psychologie se structure donc en trois parties : ce qui universel (philosophie du vivant), ce qui est général (psychologie générale) et ce qui est particulier (domaine de la psychologie particulière, des psychanalyses, de la psychiatrie médicale). CONCLUSION : Mais cette distinction est-elle une réponse à la question posée ? Prouver que l’homme est inséparable de toutes ses dimensions. Il se peut que psychologie = anthropologie = philosophie réaliste. PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Plusieurs sens de ces mots. Nous sommes ici en philosophie réaliste. PREMIÈRE PARTIE : Définition du réel, puis de la philosophie réaliste à partir de son objet matériel et de sa raison formelle. Les sept grandes parties de la philosophie, dont la philosophie du vivant. Comment le réel est structure en ce qui universel, ce qui est général et ce qui est particulier. DEUXIÈME PARTIE : La psychologie se structure donc en trois parties : ce qui universel (philosophie du vivant), ce qui est général (psychologie générale) et ce qui est particulier (domaine de la psychologie particulière, des psychanalyses, de la psychiatrie médicale). CONCLUSION : Mais cette distinction est-elle une réponse à la question posée ? Prouver que l’homme est inséparable de toutes ses dimensions. Il se peut que psychologie = anthropologie = philosophie réaliste. |
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11/10/2015 | 03 La raison et le réel | 01 Théorie et expérience | La philosophie est-elle nécessairement réaliste ? | INTRODUCTION : Notre époque a vu se multiplier les philosophies idéalistes, qui mettent l’idée imaginée avant le réel, quitte à essayer de changer le réel. PREMIÈRE PARTIE : Qu'est-ce que le réalisme / Qu'est-ce que l'idéalisme ? L’idéalisme en philosophie n’est pas nouveau. Sa trace la plus ancienne est dans la politique de Platon et l’invention du communisme. Mais c’est les XIX° et XX° s. qui ont vu ces idéalismes devenir criminels, car l’homme a voulu les réaliser. Caractéristique de l’idéologie. L’exemple de la théorie du communisme réalisé. L’exemple de la théorie du genre. DEUXIÈME PARTIE : A l’origine de la philosophie en Grèce, il n’en fut pas ainsi. La philosophie était réaliste, comme la science positive l’est de nos jours. Que s’est-il passé ? La propension de l’homme à chercher son maître dans les livres ou dans sa propre pensée. René Descartes plonge la science dans le réalisme et la philosophie dans l’idéalisme. TROISIÈME PARTIE : Si la philosophie veut survivre, elle doit redevenir réaliste. Aristote : « Platon et la vérité, je les aime tous les deux, mais la vérité plus encore ». | 00:43:00 |
16/10/2015 | 03 La raison et le réel | 02 La démonstration | L'a priori a-t-il sa place en philosophie ? | INTRODUCTION : En philosophie réaliste, une connaissance a priori est antérieure à l'expérience ou à la démonstration. Dans la pensée de Kant, c'est aussi une connaissance « indépendante de l'expérience ». Cela s'oppose à une connaissance a posteriori, empirique, factuelle, à ce qui est « issu de l'expérience ».
PREMIÈRE PARTIE : Là où l’a priori est légitime : Les principes premiers sont des a priori nécessaires. Ils fondent la possibilité même de la pensée : 1° Principe d’identité (une chose, considérée sous un même rapport, est identique à elle-même) ; 2° Principe de non-contradiction (une proposition ne peut être à la fois vraie et fausse) ; 3° Principe du tiers exclu (une proposition doit être vraie ou fausse) ; 4° Principe de raison suffisante (jamais rien n'arrive sans qu'il y ait une cause ou du moins une raison déterminante).
L’hypothèse est un a priori valide à condition d’être ensuite validée par l’expérience. Exemple : Einstein et la relativité, Contre-exemple : les macroévolutions.
DEUXIÈME PARTIE : Là où l’a priori est illégitime : Le dogme théologique est un a priori non recevable en philosophie, comme l’opinion ou la croyance. Que dire du témoignage ? L’exemple des NDE et la nécessité de vérifier les témoignages de ce genre.
CONCLUSION : Pour juger de la légitimité des a priori, il faut commencer par accepter l’a priori suivant : la confiance en ses sens, fondement de l’expérience, quoiqu’en dise René Descartes.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : En philosophie réaliste, une connaissance a priori est antérieure à l'expérience ou à la démonstration. Dans la pensée de Kant, c'est aussi une connaissance « indépendante de l'expérience ». Cela s'oppose à une connaissance a posteriori, empirique, factuelle, à ce qui est « issu de l'expérience ». PREMIÈRE PARTIE : Là où l’a priori est légitime : Les principes premiers sont des a priori nécessaires. Ils fondent la possibilité même de la pensée : 1° Principe d’identité (une chose, considérée sous un même rapport, est identique à elle-même) ; 2° Principe de non-contradiction (une proposition ne peut être à la fois vraie et fausse) ; 3° Principe du tiers exclu (une proposition doit être vraie ou fausse) ; 4° Principe de raison suffisante (jamais rien n'arrive sans qu'il y ait une cause ou du moins une raison déterminante). L’hypothèse est un a priori valide à condition d’être ensuite validée par l’expérience. Exemple : Einstein et la relativité, Contre-exemple : les macroévolutions. DEUXIÈME PARTIE : Là où l’a priori est illégitime : Le dogme théologique est un a priori non recevable en philosophie, comme l’opinion ou la croyance. Que dire du témoignage ? L’exemple des NDE et la nécessité de vérifier les témoignages de ce genre. CONCLUSION : Pour juger de la légitimité des a priori, il faut commencer par accepter l’a priori suivant : la confiance en ses sens, fondement de l’expérience, quoiqu’en dise René Descartes. |
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22/10/2015 | 03 La raison et le réel | 02 La démonstration | L'expérience peut-elle démontrer quelque chose ? | INTRODUCTION : Un sujet de philosophie critique, un sujet fondamental pour fonder le réalisme. Qu’est-ce que l’expérience ?
ANTITHÈSE : Pour René Descartes, seule le raisonnement valide peut démontrer. Ex : « Je pense donc je suis ». Rien ne nous prouve qu’un malin génie de nous trompe pas depuis toujours.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : L’expérience peut-elle montrer quelque chose avec certitude, à défaut de le démontrer ? L’expérience peut-elle tromper ? L’exemple du mirage, de l’hallucination et de l’illusion d’optique. Comment l’expérimentation fortifie l’expérience tandis que la démonstration seule démontre.
Le réalisme philosophique ou scientifique ne peut être réduit à la démonstration par le raisonnement, quoiqu’en ait dit Descartes. Voir un microbe au microscope (Pasteur) montre la cause de certaines maladies.
CONCLUSION : L’harmonie entre expérience, expérimentation et démonstration en philosophie
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Un sujet de philosophie critique, un sujet fondamental pour fonder le réalisme. Qu’est-ce que l’expérience ? ANTITHÈSE : Pour René Descartes, seule le raisonnement valide peut démontrer. Ex : « Je pense donc je suis ». Rien ne nous prouve qu’un malin génie de nous trompe pas depuis toujours. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : L’expérience peut-elle montrer quelque chose avec certitude, à défaut de le démontrer ? L’expérience peut-elle tromper ? L’exemple du mirage, de l’hallucination et de l’illusion d’optique. Comment l’expérimentation fortifie l’expérience tandis que la démonstration seule démontre. Le réalisme philosophique ou scientifique ne peut être réduit à la démonstration par le raisonnement, quoiqu’en ait dit Descartes. Voir un microbe au microscope (Pasteur) montre la cause de certaines maladies. CONCLUSION : L’harmonie entre expérience, expérimentation et démonstration en philosophie. |
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06/12/2015 | 03 La raison et le réel | 02 La démonstration | Le déisme des frères Bogdanov est-il scientifique ? | INTRODUCTION : Les polémiques à l’occasion de leur thèse et de leur livre « le visage de Dieu ». PREMIÈRE PARTIE : Les deux épistémologies : l’une pas du tout scientifique, et l’autre vraie épistémologie. Ses deux principes (Objet et raison d’une science ; Hiérarchisation des sciences). DEUXIÈME PARTIE : Approche de l’hypothèse des frères Bogdanov selon les deux épistémologies. Seule la deuxième peut en rendre compte, à partir de l’unique objet des sciences : la recherche du réel. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Critiques des critiques : créationnisme ? Fidéisme ? Scientisme ? Déisme ? CONCLUSION : Pourquoi cette polémique inutile ? Peut-être à cause du débat très chaud sur l’évolutionnisme (Thomas Huxley). | 00:39:00 |
29/10/2015 | 03 La raison et le réel | 03 Le vivant | Une connaissance scientifique du vivant est-elle possible ? | INTRODUCTION : La diversité immense des vivants : bactéries, plantes, animaux, homme. La définition de la science positive par son objet et sa méthode.
PREMIÈRE PARTIE : Le vivant de vie végétative, objet de la science biologique. Car ce degré de vie est chimique et inconscient. La science peut-elle tout dire de lui ? Pas sûr : il y a un mystère dans l’unité des macro-molécules vivantes qui intéresse la philosophie et semble dépasser la science. Ex : la question de l’origine du premier vivant, la question de l’apparition des macro-évolutions massives, la question de la stabilité des vivants.
DEUXIÈME PARTIE : Le vivant de vie sensible (animal) et la conscience sensible : la science est pour le moment parfaitement dépassée par le cerveau. Comparaison du sens avec un écran sensible d’ordinateur. Par contre, la philosophie parle de cette vie sensible et se fait aider des sciences humaines et des statistiques.
TROISIÈME PARTIE : L’homme et sa vie spirituelle : une question qui interroge et dépasse profondément la science et passionne la philosophie réaliste : où est l’ADN et l’organe de l’intelligence et de la volonté humaines ? Comment Aristote montre que l’esprit dépasse l’organe du cerveau, tout en s’en servant.
CONCLUSION : L’humilité et sens critique concernent aussi la science face à la richesse du réel.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : La diversité immense des vivants : bactéries, plantes, animaux, homme. La définition de la science positive par son objet et sa méthode. PREMIÈRE PARTIE : Le vivant de vie végétative, objet de la science biologique. Car ce degré de vie est chimique et inconscient. La science peut-elle tout dire de lui ? Pas sûr : il y a un mystère dans l’unité des macro-molécules vivantes qui intéresse la philosophie et semble dépasser la science. Ex : la question de l’origine du premier vivant, la question de l’apparition des macro-évolutions massives, la question de la stabilité des vivants. DEUXIÈME PARTIE : Le vivant de vie sensible (animal) et la conscience sensible : la science est pour le moment parfaitement dépassée par le cerveau. Comparaison du sens avec un écran sensible d’ordinateur. Par contre, la philosophie parle de cette vie sensible et se fait aider des sciences humaines et des statistiques. TROISIÈME PARTIE : L’homme et sa vie spirituelle : une question qui interroge et dépasse profondément la science et passionne la philosophie réaliste : où est l’ADN et l’organe de l’intelligence et de la volonté humaines ? Comment Aristote montre que l’esprit dépasse l’organe du cerveau, tout en s’en servant. CONCLUSION : L’humilité et sens critique concernent aussi la science face à la richesse du réel. |
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30/11/2015 | 03 La raison et le réel | 04 La matière et l'esprit | Quelle différence peut-on faire entre la matière et le corps ? | INTRODUCTION : Un sujet de physique et de biologie.
PREMIÈRE PARTIE : La matière, cette énergie indéterminée commune à tous les êtres que nous expérimentons et à ceux que nous devinons (la matière noire). Jamais de matière sans sa forme organisée en corps, de l’immensément grand à l’immensément petit.
DEUXIÈME PARTIE : Les différentes réalisations du corps/ le concept analogique de « corps » : Le corps physique est toujours individué par un lieu, une limite. L’objection de la matière quantique ? Le corps vivant, le corps humain. L’œuvre d’art est-elle un corps ?
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : La différence entre la matière (une abstraction) et le corps (une réalité).
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Un sujet de physique et de biologie. PREMIÈRE PARTIE : La matière, cette énergie indéterminée commune à tous les êtres que nous expérimentons et à ceux que nous devinons (la matière noire). Jamais de matière sans sa forme organisée en corps, de l’immensément grand à l’immensément petit. DEUXIÈME PARTIE : Les différentes réalisations du corps/ le concept analogique de « corps » : Le corps physique est toujours individué par un lieu, une limite. L’objection de la matière quantique ? Le corps vivant, le corps humain. L’œuvre d’art est-elle un corps ? RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : La différence entre la matière (une abstraction) et le corps (une réalité). |
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08/12/2015 | 03 La raison et le réel | 04 La matière et l'esprit | L'homme est-il naturellement bienveillant à l'égard d'autrui ? | INTRODUCTION : Un sujet rendu idéaliste par la pensée de Jean-Jacques Rousseau (Discours sur l’origine des inégalités parmi les hommes). ANTITHÈSE : Les enfants et l’apprentissage de la vie commune. La violence, le sadisme, le harcèlement. Les adolescents sans structure, sans autorité. THÈSE : Les enfants bien structurés (amour, autorité, explications des valeurs). RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Les deux lois présentes dans l’être humain : loi de sa sensibilité, loi de son intelligence (Romains 7, 14). Un combat en soi. Un combat de la civilisation, qui peut être perdu quand l’éducation disparaît. CONCLUSION : La responsabilité des parents. | 00:30:00 |
23/10/2015 | 03 La raison et le réel | 05 La vérité | Y a-t-il des questions auxquelles aucune science ne répond ? | INTRODUCTION : Une question difficile puisqu’elle aborde ce qui est inconnu. Donc, par définition, ce qu’on ne connaît pas ! Trois domaines : 1° Ce qui n’est pas connu pour le moment dans notre univers ; 2° Ce qui sera à jamais inconnu dans notre univers ; 3° Ce qui ne fait pas partie de notre univers. PREMIÈRE PARTIE : Ce qui n’est pas connu pour le moment dans notre univers : ex : la nature de la gravitation, le fonctionnement de l’ADN, la théorie unificatrice de la matière ; Le fonctionnement de la vie et du cerveau ; Les méandres de la psychologie humaine ; les intentions du Grand Horloger de l’univers. DEUXIÈME PARTIE : Ce qui sera à jamais inconnu dans notre univers : l’essence profonde des êtres, depuis l’atome à l’homme ; La totalité des possibles. Tout cela est trop profond pour notre intelligence limitée. TROISIÈME PARTIE : Ce qui ne fait pas partie de notre univers : Y a-t-il d’autres big bang ailleurs ? Y a-t-il des mondes parallèles ? Y a-t-il une survie après la mort, donc un monde des esprits ? CONCLUSION : Seule la vision directe de la Cause première de tout, le Créateur, permettrait de tout connaître. C’est ce qu’annoncent les religions monothéistes (chrétienne et musulmane). Cela échappe au domaine de la Philosophie. | 00:34:00 |
18/11/2015 | 03 La raison et le réel | 05 La vérité | N'y a-t-il aucune vérité dans le mensonge ? | INTRODUCTION : Distinguer le mensonge (contre-vérité volontaire) de l’erreur (contre-vérité involontaire).
PREMIÈRE PARTIE : Le mensonge des naïfs peut aller jusqu’à une pure opposition aux principes fondamentaux de la pensée : 1° Principe d’identité (une chose, considérée sous un même rapport, est identique à elle-même) ; 2° Principe de non-contradiction (une proposition ne peut être à la fois vraie et fausse) ; 3° Principe du tiers exclu (une proposition doit être vraie ou fausse) ; 4° Principe de raison suffisante (jamais rien n'arrive sans qu'il y ait une cause ou du moins une raison déterminante).
DEUXIÈME PARTIE : Le mensonge adulte mêle d’énormes vérités pour injecter le mensonge. L’exemple de l’opération « Fortitude ». Le mensonge des idéologies. Le mariage blanc, le mariage gris.
CONCLUSION : Le mensonge qui joue volontairement des parts de vérité pour s’insinuer est un instrument efficace qui devient « ruse » en cas de guerre au motif juste. Est-il moralement justifiable ?
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Distinguer le mensonge (contre-vérité volontaire) de l’erreur (contre-vérité involontaire). PREMIÈRE PARTIE : Le mensonge des naïfs peut aller jusqu’à une pure opposition aux principes fondamentaux de la pensée : 1° Principe d’identité (une chose, considérée sous un même rapport, est identique à elle-même) ; 2° Principe de non-contradiction (une proposition ne peut être à la fois vraie et fausse) ; 3° Principe du tiers exclu (une proposition doit être vraie ou fausse) ; 4° Principe de raison suffisante (jamais rien n'arrive sans qu'il y ait une cause ou du moins une raison déterminante). DEUXIÈME PARTIE : Le mensonge adulte mêle d’énormes vérités pour injecter le mensonge. L’exemple de l’opération « Fortitude». Le mensonge des idéologies. Le mariage blanc, le mariage gris. CONCLUSION : Le mensonge qui joue volontairement des parts de vérité pour s’insinuer est un instrument efficace qui devient « ruse » en cas de guerre au motif juste. Est-il moralement justifiable ? |
00:19:00 |
01/05/2017 | 03 La raison et le réél | 05 La vérité | Il n'existe qu'une chose pire qu'exalter la vérité au point d'oublier l'amour. | INTRODUCTION : Aristote et le « juste milieu » : tout sauf un centrisme mou. Une coopération pro-active du feu et de l’eau.
PREMIÈRE PARTIE : Lorsque la vérité est exaltée sans amour. Application éthique dans la vie du couple. Application en politique avec le comportement de Winston Churchill.
DEUXIÈME PARTIE : Lorsque l’amour est exalté sans vérité. Application éthique dans la vie du couple. Application en politique avec le comportement du Maréchal Pétain en 40. Application en théologie catholique avec la question de l’avortement.
TROISIÈME PARTIE : Recherche du juste rapport entre amour et vérité : tout sauf un mixte de tiédeur.
CONCLUSION : La vérité sans amour blesse. L’amour sans vérité noie. Les deux excès tuent.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Aristote et le « juste milieu » : tout sauf un centrisme mou. Une coopération pro-active du feu et de l’eau. PREMIÈRE PARTIE : Lorsque la vérité est exaltée sans amour. Application éthique dans la vie du couple. Application en politique avec le comportement de Winston Churchill. DEUXIÈME PARTIE : Lorsque l’amour est exalté sans vérité. Application éthique dans la vie du couple. Application en politique avec le comportement du Maréchal Pétain en 40. Application en théologie catholique avec la question de l’avortement. TROISIÈME PARTIE : Recherche du juste rapport entre amour et vérité : tout sauf un mixte de tiédeur. CONCLUSION : La vérité sans amour blesse. L’amour sans vérité noie. Les deux excès tuent. |
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10/10/2015 | 03 La théorie et le réel | 01 Théorie et expérience | La philosophie est-elle un luxe ? | INTRODUCTION : Notre époque, de plus en plus utilitaire, hésite à supprimer ce cours. Idem pour les cours de religion en Europe, au profit des sciences et des techniques qui prouvent leur efficacité immédiate.
PREMIÈRE PARTIE : L’être humain a-t-il changé selon la prophétie d’Auguste Comte, ne se nourrissant plus que du « comment ça marche » ?
DEUXIÈME PARTIE : Les quatre dimensions de la vie pratique de l’homme : travail et politique certes, mais surtout éthique et Sagesse. Que devient un homme sans éthique ? « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Les « humanités », fondement de notre civilisation.
TROISIÈME PARTIE : Aristote : « L’homme heureux dans sa vie a des amis et de la sagesse ».
Que devient un homme sans la sagesse philosophique ?
OUVERTURE : Et les religions révélées ? Que penser du cours de religion organisé partout dans le monde sauf en France ? Cette phrase biblique est-elle périmée : « Deutéronome 8, 3 l'homme ne vit pas seulement de pain, mais que l'homme vit de tout ce qui sort de la bouche de Yahvé. » APPROCHE PHILOSOPHIE REALISTE INTRODUCTION : Notre époque, de plus en plus utilitaire, hésite à supprimer ce cours. Idem pour les cours de religion en Europe, au profit des sciences et des techniques qui prouvent leur efficacité immédiate. PREMIÈRE PARTIE : L’être humain a-t-il changé selon la prophétie d’Auguste Comte, ne se nourrissant plus que du « comment ça marche » ? DEUXIÈME PARTIE : Les quatre dimensions de la vie pratique de l’homme : travail et politique certes, mais surtout éthique et Sagesse. Que devient un homme sans éthique ? « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Les « humanités », fondement de notre civilisation. TROISIÈME PARTIE : Aristote : « L’homme heureux dans sa vie a des amis et de la sagesse ». Que devient un homme sans la sagesse philosophique ? OUVERTURE : Et les religions révélées ? Que penser du cours de religion organisé partout dans le monde sauf en France ? Cette phrase biblique est-elle périmée : « Deutéronome 8, 3 l'homme ne vit pas seulement de pain, mais que l'homme vit de tout ce qui sort de la bouche de Yahvé. » |
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23/10/2015 | 04 La politique | 01 La société | Une société n'est-elle qu'un ensemble d'individus ? | INTRODUCTION : Un débat d’actualité face à la crise de migration en Europe en 2015. Le risque de communautarisme sans liens, comme dans l’histoire Balkanique durant l’empire Ottoman.
ANTITHÈSE : Un courant mondialiste. La pensée de Jacques Attali et le mondialisme : l’avenir est à l’individu libre et autonome, asexué et indépendant. La place de la théorie du genre, de la sexualité sans lien avec l’amour ou avec le don de la vie.
DÉFINIR LE LIEN D’UNE SOCIÉTÉ : Le bien commun est la cause d’unification d’une communauté. Qu’est-ce que le bien commun : une histoire, une culture commune, des familles. Le semblable s’unit au semblable. Le fondement du bien commun est-il l’individu ou la famille ?
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Une société fondée sur le seul individu est une société sans racines et sans futur. La souffrance d’un humain sans racines. L’individu sans famille est un navire errant. L’Europe actuelle en est par certains trais l’image. Le roman 1984 de George Orwell.
CONCLUSION : Il est sans doute fatal qu’un jour l’humanité expérimente un tel monde.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Un débat d’actualité face à la crise de migration en Europe en 2015. Le risque de communautarisme sans liens, comme dans l’histoire Balkanique durant l’empire Ottoman. ANTITHÈSE : Un courant mondialiste. La pensée de Jacques Attali et le mondialisme : l’avenir est à l’individu libre et autonome, asexué et indépendant. La place de la théorie du genre, de la sexualité sans lien avec l’amour ou avec le don de la vie. DÉFINIR LE LIEN D’UNE SOCIÉTÉ : Le bien commun est la cause d’unification d’une communauté. Qu’est-ce que le bien commun : une histoire, une culture commune, des familles. Le semblable s’unit au semblable. Le fondement du bien commun est-il l’individu ou la famille ? RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Une société fondée sur le seul individu est une société sans racines et sans futur. La souffrance d’un humain sans racines. L’individu sans famille est un navire errant. L’Europe actuelle en est par certains trais l’image. Le roman 1984 de George Orwell. CONCLUSION : Il est sans doute fatal qu’un jour l’humanité expérimente un tel monde. |
00:31:00 |
13/10/2015 | 04 La politique | 01 La société | L'état du bon sauvage a-t-il existé ? | INTRODUCTION : Un mythe posé par Jean-Jacques Rousseau et gardé en France par les premiers communistes en vue de mettre en accusation l’argent, le capitalisme.
PREMIÈRE PARTIE : Qu’en dit la paléontologie et l’étude des tribus primitives vivantes ? L’état paléolithique (chasseurs/cueilleurs), l’état néolithique (agriculteur/éleveur débutant), l’état de l’âge du fer (agriculteur/éleveur confirmé). Exemples, dans ces trois états, de civilisations paisibles et de civilisations agressives.
DEUXIÈME PARTIE : La nature humaine est à étudier car c’est la même humanité qui vit tous ces âges. Elle est porteuses de facultés vitales qui, en soumises à telle ou telle circonstance extérieures ou intérieures, peuvent réagir diversement.
CONCLUSION : Si le « bon sauvage » n’a pas existé, doit-on attendre l’utopie (la venue du grand soir, de la réinstauration du paradis sur terre) ?
PHILOSOPHIE REALISTE INTRODUCTION : Un mythe posé par Jean-Jacques Rousseau et gardé en France par les premiers communistes en vue de mettre en accusation l’argent, le capitalisme. PREMIÈRE PARTIE : Qu’en dit la paléontologie et l’étude des tribus primitives vivantes ? L’état paléolithique (chasseurs/cueilleurs), l’état néolithique (agriculteur/éleveur débutant), l’état de l’âge du fer (agriculteur/éleveur confirmé). Exemples, dans ces trois états, de civilisations paisibles et de civilisations agressives. DEUXIÈME PARTIE : La nature humaine est à étudier car c’est la même humanité qui vit tous ces âges. Elle est porteuses de facultés vitales qui, en soumises à telle ou telle circonstance extérieures ou intérieures, peuvent réagir diversement. CONCLUSION : Si le « bon sauvage » n’a pas existé, doit-on attendre l’utopie (la venue du grand soir, de la réinstauration du paradis sur terre) ? |
00:41:00 |
21/10/2013 | 04 La politique | 01 La vérité | Peut-on juger objectivement la valeur d'une culture ? | INTRODUCTION : Un débat très occidental fondé sur une polémique en 2011 : « J’estime que la culture occidentale est supérieure ».
ANTITHÈSE : « C’est une proposition raciste », « toutes les cultures sont dignes et se valent ». L’aspect polémique de cette critique vient du traumatisme occidental sur son histoire. Cet argument suffit-il ?
DÉFINIR LA CULTURE : Les multiples critères qui fondent une culture : les beaux-arts, les sciences, les techniques, le système politique, la morale publique, la philosophie et la religion.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Quels sont les critères premiers ? Sont-ce l’éthique (par exemple les droits de l’homme) et la sagesse (Aristote), ou la richesse et la puissance (Alexandre le grand son élève) ?
CONCLUSION : Un dernier critère est à considérer pour juger d’une civilisation : son humilité.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Un débat très occidental fondé sur une polémique en 2011 : « J’estime que la culture occidentale est supérieure ». ANTITHÈSE : « C’est une proposition raciste », « toutes les cultures sont dignes et se valent ». L’aspect polémique de cette critique vient du traumatisme occidental sur son histoire. Cet argument suffit-il ? DÉFINIR LA CULTURE : Les multiples critères qui fondent une culture : les beaux-arts, les sciences, les techniques, le système politique, la morale publique, la philosophie et la religion. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Quels sont les critères premiers ? Sont-ce l’éthique (par exemple les droits de l’homme) et la sagesse (Aristote), ou la richesse et la puissance (Alexandre le grand son élève) ? CONCLUSION : Un dernier critère est à considérer pour juger d’une civilisation : son humilité. |
00:44:00 |
04/11/2015 | 04 La politique | 02 La justice et le droit | Faut-il opposer morale et politique ? | INTRODUCTION : Les hommes politiques au pouvoir et les hommes politiques dans l’opposition : deux positions très différentes.
ANTITHÈSE : La théorie de Machiavel : lorsque la politique est déclarée étrangère à la morale. Pour lui, la politique cherche l’intérêt de la Nation et rien d’autre. Le cas du bombardement de Dresdes.
THÈSE : Lorsque la morale devient le seul critère de la politique. Le cas de Louis XVI. La fin de Kadhafi.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Le rapport entre morale et politique : La recherche d’une efficacité. Mais la fin ne justifie pas tous les moyens. Le cas de la bombe d’Hiroshima.
CONCLUSION : Distinguer mais ne pas séparer complètement morale et politique.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Les hommes politiques au pouvoir et les hommes politiques dans l’opposition : deux positions très différentes. ANTITHÈSE : La théorie de Machiavel : lorsque la politique est déclarée étrangère à la morale. Pour lui, la politique cherche l’intérêt de la Nation et rien d’autre. Le cas du bombardement de Dresdes. THÈSE : Lorsque la morale devient le seul critère de la politique. Le cas de Louis XVI. La fin de Kadhafi. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Le rapport entre morale et politique : La recherche d’une efficacité. Mais la fin ne justifie pas tous les moyens. Le cas de la bombe d’Hiroshima. CONCLUSION : Distinguer mais ne pas séparer complètement morale et politique. |
00:30:00 |
19/11/2015 | 04 La politique | 02 La justice et le droit | Les peines qu'inflige une société servent-elles une simple vengeance ? | INTRODUCTION : Un sujet marqué dans l’histoire par des extrêmes, y compris au XIX° et XX° s, depuis les Misérables de Victor Hugo, au basculement des articles d’Albert Londres sur le bagne de Cayenne. PREMIÈRE PARTIE : Approche historique de l’histoire des peines : passage plusieurs fois dans l’histoire de la vengeance, à la justice (punition proportionnelle et réparation), protection de la société, réinsertion. Parallèle entre l’histoire Biblique et l’histoire de l’Europe de la Renaissance à nos jours. DEUXIÈME PARTIE : Comment ces 5 motifs ont un rôle : La vengeance nécessaire analysée par René Girard, qui dit diminuer pour la justice qui est une vertu de la volonté nourrie par l’intelligence, accompagnée de la miséricorde qui vise à amender le criminel : éviter la récidive et réparation. CONCLUSION : Ces éléments doivent exister dans un juste milieu pour tenir compte de toute la nature humaine. | 00:24:00 |
29/11/2015 | 04 La politique | 02 La justice et le droit | La démocratie est-elle la garantie de lois justes ? | INTRODUCTION : Un sujet d’actualité à un moment où les démocraties sont contestées, comme système universel.
PREMIÈRE PARTIE : Qu’est-ce que la Démocratie moderne ? Avantages et inconvénients d’après Aristote (Politique). Les contrepouvoirs dans la Démocratie US.
DEUXIÈME PARTIE : Qu’est-ce qu’une loi juste ? Elle respecte à la fois l’écologie humaine complète et la personne humaine.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Au-delà des systèmes, si une majorité de la communauté est injuste, les lois seront injustes. Le Pouvoir médiatique en démocratie et sa capacité de manipulation.
CONCLUSION : La Démocratie semble malgré tout être, pour des peuples instruits, le meilleur. Attention, elle ne l’est pas pour tous les peuples. L’exemple de l’Irak en 2015.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Un sujet d’actualité à un moment où les démocraties sont contestées, comme système universel. PREMIÈRE PARTIE : Qu’est-ce que la Démocratie moderne ? Avantages et inconvénients d’après Aristote (Politique). Les contrepouvoirs dans la Démocratie US. DEUXIÈME PARTIE : Qu’est-ce qu’une loi juste ? Elle respecte à la fois l’écologie humaine complète et la personne humaine. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Au-delà des systèmes, si une majorité de la communauté est injuste, les lois seront injustes. Le Pouvoir médiatique en démocratie et sa capacité de manipulation. CONCLUSION : La Démocratie semble malgré tout être, pour des peuples instruits, le meilleur. Attention, elle ne l’est pas pour tous les peuples. L’exemple de l’Irak en 2015. |
00:24:00 |
17/11/2015 | 04 La politique | 03 L'état | Peut-on concevoir une société sans État ? | INTRODUCTION : Un thème source de violence au XIX° s. à l’époque des attentats anarchistes en Europe : « Ni Dieu, ni maîtres ».
PREMIÈRE PARTIE : La genèse des sociétés du paléolithique à aujourd’hui. L’apparition des cités-Etats au néolithique.
DEUXIÈME PARTIE : Une société moderne sans Etat peut-elle exister ? Regard sur certaines sociétés Africaines sans Etat. L’abus de l’Etat dans certains pays européens.
CONCLUSION : Le juste milieu.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Un thème source de violence au XIX° s. à l’époque des attentats anarchistes en Europe : « Ni Dieu, ni maîtres ». PREMIÈRE PARTIE : La genèse des sociétés du paléolithique à aujourd’hui. L’apparition des cités-Etats au néolithique. DEUXIÈME PARTIE : Une société moderne sans Etat peut-elle exister ? Regard sur certaines sociétés Africaines sans Etat. L’abus de l’Etat dans certains pays européens. CONCLUSION : Le juste milieu. |
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29/11/2015 | 04 La politique | 03 L'état | Peut-on imposer la démocratie par la force ? | INTRODUCTION : Un dogme des années 2010 répond « non ! »
ANTITHÈSE : Les exemples terrible de l’Irak et de la Lybie au XXI° s. : Cela ne semble jamais possible puisque la Démocratie est l’effet de la volonté libre du peuple. THÈSE : L’exemple de l’Allemagne et du Japon en 1945. L’exemple des royautés européennes sous Napoléon : il semble donc que cela fonctionne parfois. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Ne jamais dire jamais en politique. CONCLUSION : La prudence politique est l’intelligence qui, de manière souple, regarde la réalité tout entière et analyse les conditions nécessaires au progrès politique. PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Un dogme des années 2010 répond « non ! » ANTITHÈSE : Les exemples terrible de l’Irak et de la Lybie au XXI° s. : Cela ne semble jamais possible puisque la Démocratie est l’effet de la volonté libre du peuple. THÈSE : L’exemple de l’Allemagne et du Japon en 1945. L’exemple des royautés européennes sous Napoléon : il semble donc que cela fonctionne parfois. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Ne jamais dire jamais en politique. CONCLUSION : La prudence politique est l’intelligence qui, de manière souple, regarde la réalité tout entière et analyse les conditions nécessaires au progrès politique. |
00:19:00 |
15/11/2015 | 04 Politique | 01 La société | Les peines qu'inflige une société servent-elles une simple vengeance ? | INTRODUCTION : Un sujet marqué dans l’histoire par des extrêmes, y compris au XIX° et XX° s, depuis les Misérables de Victor Hugo, au basculement des articles d’Albert Londres sur le bagne de Cayenne. PREMIÈRE PARTIE : Approche historique de l’histoire des peines : passage plusieurs fois dans l’histoire de la vengeance, à la justice (punition proportionnelle et réparation), protection de la société, réinsertion. Parallèle entre l’histoire Biblique et l’histoire de l’Europe de la Renaissance à nos jours. DEUXIÈME PARTIE : Comment ces 5 motifs ont un rôle : La vengeance nécessaire analysée par René Girard, qui dit diminuer pour la justice qui est une vertu de la volonté nourrie par l’intelligence, accompagnée de la miséricorde qui vise à amender le criminel : éviter la récidive et réparation. CONCLUSION : Ces éléments doivent exister dans un juste milieu pour tenir compte de toute la nature humaine. |
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20/10/2015 | 04 Politique | 01 La société | L'action politique doit-elle être guidée par la connaissance de l'histoire ? | INTRODUCTION : « L’homme qui ne connaît pas l’histoire se condamne à la revivre. » (Monument des martyrs de Lyon).
ANTITHÈSE : Lorsque la connaissance de l’histoire ne guide qu’en apparence, accompagnée d’une idéologie orientée. L’exemple de la démocratie imposée par les armes, de l’immigration toujours une chance.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Quel doit être le vrai guide de la politique : la prudence politique, qui est une vertu de l’intelligence. Elle prend alors conseil de tout : la culture historique et ses leçons ; des principes politiques ; la conscience morale universelle à titre d’éclairage ; la recherche d’une efficacité ; la connaissance des circonstances.
CONCLUSION : L’histoire est une science si fragile qu’elle devient facilement esclave des ambitions politiques du moment.
PHILOSOPHIE REALISTE INTRODUCTION : « L’homme qui ne connaît pas l’histoire se condamne à la revivre. » (Monument des martyrs de Lyon). ANTITHÈSE : Lorsque la connaissance de l’histoire ne guide qu’en apparence, accompagnée d’une idéologie orientée. L’exemple de la démocratie imposée par les armes, de l’immigration toujours une chance. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Quel doit être le vrai guide de la politique : la prudence politique, qui est une vertu de l’intelligence. Elle prend alors conseil de tout : la culture historique et ses leçons ; des principes politiques ; la conscience morale universelle à titre d’éclairage ; la recherche d’une efficacité ; la connaissance des circonstances. CONCLUSION : L’histoire est une science si fragile qu’elle devient facilement esclave des ambitions politiques du moment. |
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17/11/2015 | 05 La morale | 01 La liberté | En quoi peut-on dire que l'homme est libre ? | INTRODUCTION : Un sujet qui a marqué le XX° s. en philosophie et le V° s. en théologie (Pélage / Saint Augustin). Un sujet qui définit un aspect constitutif de l’homme.
ANTITHÈSE : Freud : l’homme n’a aucune liberté. L’iceberg immense de son inconscient le dirige.
THÈSE : Sartre : L’homme est liberté. Sa nature même est construite par ses choix libres. Pélage.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : La liberté dont on parle ici est la maîtrise de ses choix. Elle implique donc deux conditions : 1° Lucidité sur la fin recherchée ; 2° Maîtrise des moyens appliqués. Ces aspects existent réellement mais de manière conditionnée par toutes sortes de choses (innées ou acquises). Notre nature humaine, notre éducation, notre histoire, nos choix etc.
CONCLUSION : Deux excès : nier la liberté ou la croire absolue.
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Un sujet qui a marqué le XX° s. en philosophie et le V° s. en théologie (Pélage / Saint Augustin). Un sujet qui définit un aspect constitutif de l’homme. ANTITHÈSE : Freud : l’homme n’a aucune liberté. L’iceberg immense de son inconscient le dirige. THÈSE : Sartre : L’homme est liberté. Sa nature même est construite par ses choix libres. Pélage. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : La liberté dont on parle ici est la maîtrise de ses choix. Elle implique donc deux conditions : 1° Lucidité sur la fin recherchée ; 2° Maîtrise des moyens appliqués. Ces aspects existent réellement mais de manière conditionnée par toutes sortes de choses (innées ou acquises). Notre nature humaine, notre éducation, notre histoire, nos choix etc. CONCLUSION : Deux excès : nier la liberté ou la croire absolue. |
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01/12/2015 | 05 La morale | 01 La liberté | Peut-on se fier à l'autorité d'autrui sans tomber dans le préjugé ? | INTRODUCTION : L’obéissance est l’une des choses les plus difficiles car elle implique une certaine abdication de son propre jugement au profit de la confiance en l’autre.
PREMIÈRE PARTIE : L’obéissance ut cadaver, dans l’abdication totale de son jugement propre : L’exemple du militaire en admiration totale et absolue envers son chef. L’exemple du Jésuite. Ici, le préjugé est absolu.
DEUXIÈME PARTIE : A l’inverse, l’obéissance contrainte, vécue de force dans le mépris de son supérieur, par peur de la sanction. Ici, il y a violence et l’absence de préjugé peut exister.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Le juste rapport à l’autorité est celle d’une personne intelligente qui choisit de donner sa confiance sans abdiquer sa conscience morale et professionnelle. L’exemple de l’ordre immoral et illégal. On choisit d’avoir une lecture positive a priori de l’ordre du supérieur. L’usage du préjugé est modéré par l’usage de la raison.
CONCLUSION : La vertu d’obéissance est dans un juste milieu entre confiance préjugée et raison critique.
PHILOSOPHIE REALISTE INTRODUCTION : L’obéissance est l’une des choses les plus difficiles car elle implique une certaine abdication de son propre jugement au profit de la confiance en l’autre. PREMIÈRE PARTIE : L’obéissance ut cadaver, dans l’abdication totale de son jugement propre : L’exemple du militaire en admiration totale et absolue envers son chef. L’exemple du Jésuite. Ici, le préjugé est absolu. DEUXIÈME PARTIE : A l’inverse, l’obéissance contrainte, vécue de force dans le mépris de son supérieur, par peur de la sanction. Ici, il y a violence et l’absence de préjugé peut exister. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Le juste rapport à l’autorité est celle d’une personne intelligente qui choisit de donner sa confiance sans abdiquer sa conscience morale et professionnelle. L’exemple de l’ordre immoral et illégal. On choisit d’avoir une lecture positive a priori de l’ordre du supérieur. L’usage du préjugé est modéré par l’usage de la raison. CONCLUSION : La vertu d’obéissance est dans un juste milieu entre confiance préjugée et raison critique. |
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09/12/2015 | 05 La morale | 01 La liberté | Peut-on apprendre à être libre ? | INTRODUCTION : Les deux libertés. Celle que donne le bonheur d’une vie droite ; Celle que donne la capacité de faire ce qu’on veut quand on veut. PREMIÈRE PARTIE : L’épicurisme ou l’apprentissage de la liberté de jouir de la vie, quand on veut, avec mesure. Le cercle des poètes disparus et Robin William. DEUXIÈME PARTIE : Les humanités d’Aristote et l’apprentissage de la liberté vertueuse. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Ces deux libertés s’apprennent mais sont fondamentalement structurées par le sens qu’on donne à sa vie : Jugement dernier fondé sur la droiture (Maat) ou néant ? | 00:28:00 |
10/12/2015 | 05 La morale | 01 La liberté | Peut-on renoncer à sa liberté ? | INTRODUCTION : Un dilemme qui marque la vie de tous les hommes.
PREMIÈRE PARTIE : Les deux libertés. Celle, profonde, que donne le bonheur d’une vie droite ; Celle, nécessaire à titre de moyen, que donne la capacité de faire ce qu’on veut.
DEUXIÈME PARTIE : Quelle est la vraie liberté ? La fausse liberté : « Apocalypse 13, 17 et nul ne pourra rien acheter ni vendre s'il n'est marqué au nom de la Bête ou au chiffre de son nom ». Renoncer à sa liberté d’agir pour rester un homme debout, vertueux.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Renoncer à la liberté profonde pour garder la liberté inférieure : dans la politique face à la tyrannie. Le slogan « Plutôt rouge que mort ». Renoncer à une liberté moins profonde pour garder son âme : exemple dans le couple et la vie morale.
CONCLUSION : Le choix. Le dilemme. « Matthieu 16, 26 Que sert à l'homme de gagner l'univers s'il vient à perdre son âme ? ».
PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Un dilemme qui marque la vie de tous les hommes. PREMIÈRE PARTIE : Les deux libertés. Celle, profonde, que donne le bonheur d’une vie droite ; Celle, nécessaire à titre de moyen, que donne la capacité de faire ce qu’on veut. DEUXIÈME PARTIE : Quelle est la vraie liberté ? La fausse liberté : « Apocalypse 13, 17 et nul ne pourra rien acheter ni vendre s'il n'est marqué au nom de la Bête ou au chiffre de son nom ». Renoncer à sa liberté d’agir pour rester un homme debout, vertueux. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Renoncer à la liberté profonde pour garder la liberté inférieure : dans la politique face à la tyrannie. Le slogan « Plutôt rouge que mort ». Renoncer à une liberté moins profonde pour garder son âme : exemple dans le couple et la vie morale. CONCLUSION : Le choix. Le dilemme. « Matthieu 16, 26 Que sert à l'homme de gagner l'univers s'il vient à perdre son âme ? ». |
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31/12/9999 | 05 La morale | 01 La liberté | Ma liberté s'arrête-t-elle où commence la liberté des autres ? | INTRODUCTION : Définition de la liberté en matière morale. Différence avec la liberté en matière artistique.
PREMIÈRE PARTIE : Ce que donne une morale de la liberté individuelle, même limité à la liberté de l'autre : un monde d'individus jouisseurs et solitaires
DEUXIÈME PARTIE : La morale face à une personne humaine : Ma liberté commence là où commence ma responsabilité.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Les conséquences d'une morale de la personne humaine, membre d'une communauté humaine.
CONCLUSION : Savoir distinguer individu solitaire et perdu en lui, de la personne humaine dotée d'intelligence et liée à des racines naturelles familiales.
PHILOSOPHIE REALISTE INTRODUCTION : Définition de la liberté en matière morale. Différence avec la liberté en matière artistique. PREMIÈRE PARTIE : Ce que donne une morale de la liberté individuelle, même limité à la liberté de l'autre : un monde d'individus jouisseurs et solitaires DEUXIÈME PARTIE : La morale face à une personne humaine : Ma liberté commence là où commence ma responsabilité. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Les conséquences d'une morale de la personne humaine, membre d'une communauté humaine. CONCLUSION : Savoir distinguer individu solitaire et perdu en lui, de la personne humaine dotée d'intelligence et liée à des racines naturelles familiales. |
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15/12/2015 | 05 La morale | 01 La liberté | Peut-on apprendre à être libre ? | INTRODUCTION : Les deux libertés. Celle que donne le bonheur d’une vie droite ; Celle que donne la capacité de faire ce qu’on veut quand on veut. PREMIÈRE PARTIE : L’épicurisme ou l’apprentissage de la liberté de jouir de la vie, quand on veut, avec mesure. Le cercle des poètes disparus et Robin William. DEUXIÈME PARTIE : Les humanités d’Aristote et l’apprentissage de la liberté vertueuse. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Ces deux libertés s’apprennent mais sont fondamentalement structurées par le sens qu’on donne à sa vie : Jugement dernier fondé sur la droiture (Maat) ou néant ? | 00:28:00 |
19/10/2015 | 05 La morale | 02 Le devoir | Raison ou déraison en matière morale ? | THÈSE : Jusqu’en 1945, la morale du devoir et du sacrifice insiste partout sur le choix de la raison. Kant formalise cet impératif catégorique de l’intelligence qui commande la volonté. Cette morale va se détruire et se déshonorer (deux guerres mondiales, Renouveau National de Pétain).
ANTITHÈSE : Par réaction, à partir de la libération, une génération exalte la déraison, la spontanéité du désir qui s’affranchit des règles : Sartre et Freud sont exaltés pour la liberté et la déculpabilisation des choix. L’impasse de cette génération vieillissante et sans racines ni finalité ultime.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : C’est toujours l’intelligence qui doit présider à la morale car l’intelligence n’est ni dans l’excès raisonnable ni dans l’excès passionnel. De même, c’est l’intelligence qui unifie les principes généraux et les cas particuliers où la conscience décide.
CONCLUSION : Parfois, le choix de l’intelligence peut paraître déraisonnable ... Un exemple de choix dans l’alpinisme.
PHILOSOPHIE REALISTE : THÈSE : Jusqu’en 1945, la morale du devoir et du sacrifice insiste partout sur le choix de la raison. Kant formalise cet impératif catégorique de l’intelligence qui commande la volonté. Cette morale va se détruire et se déshonorer (deux guerres mondiales, Renouveau National de Pétain). ANTITHÈSE : Par réaction, à partir de la libération, une génération exalte la déraison, la spontanéité du désir qui s’affranchit des règles : Sartre et Freud sont exaltés pour la liberté et la déculpabilisation des choix. L’impasse de cette génération vieillissante et sans racines ni finalité ultime. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : C’est toujours l’intelligence qui doit présider à la morale car l’intelligence n’est ni dans l’excès raisonnable ni dans l’excès passionnel. De même, c’est l’intelligence qui unifie les principes généraux et les cas particuliers où la conscience décide. CONCLUSION : Parfois, le choix de l’intelligence peut paraître déraisonnable ... Un exemple de choix dans l’alpinisme. |
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05/11/2015 | 05 La morale | 03 Le bonheur | Exister, est-ce profiter de l'instant présent ? | INTRODUCTION : Un sujet de philosophie pratique qui devrait être traduit comme suit : « Vivre heureux, est-ce profiter de l’instant présent ? » Le sujet n’est donc pas en philosophie de l’être.
ANTITHÈSE : Les gens peu accomplis ne vivent pas dans le présent : « Quand je serai grand » ; « Quand j’étais jeune », ou vivent trop dans l’étourdissement d’un présent perpétuel et agité.
RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Le bonheur est une juste relation à son passé, son présent et son futur. Jean Piajet et les trois sentiments du moi. Bien-être, sécurité, Mal être. Comment ne pas obtenir ces trois sentiments : en mettant sa finalité dans la gloire, le plaisir et l’argent. Comment l’obtenir d’après Aristote : des racines familiales pour son passé, l’amitié pour son présent, et une certaine sagesse pour son futur. CONCLUSION ET OUVERTURE : La structuration du bonheur dans la religion chrétienne : passé enraciné dans la foi des anciens, présent dans la charité, futur dans l’espérance. PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Un sujet de philosophie pratique qui devrait être traduit comme suit : « Vivre heureux, est-ce profiter de l’instant présent ? » Le sujet n’est donc pas en philosophie de l’être. ANTITHÈSE : Les gens peu accomplis ne vivent pas dans le présent : « Quand je serai grand » ; « Quand j’étais jeune », ou vivent trop dans l’étourdissement d’un présent perpétuel et agité. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Le bonheur est une juste relation à son passé, son présent et son futur. Jean Piajet et les trois sentiments du moi. Comment ne pas obtenir ces trois sentiments : en mettant sa finalité dans la gloire, le plaisir et l’argent. Comment l’obtenir d’après Aristote : des racines familiales pour son passé, l’amitié pour son présent, et une certaine sagesse pour son futur. CONCLUSION ET OUVERTURE : La structuration du bonheur dans la religion chrétienne : passé enraciné dans la foi des anciens, présent dans la charité, futur dans l’espérance. |
00:30:00 |
15/11/2015 | 05 La morale | 03 Le bonheur | Est-ce à la loi de décider de mon bonheur ? | INTRODUCTION : Un sujet de philosophie éthique sur le rapport entre morale et politique. Vincent Peillon en 2012 : « L’Etat doit arracher l'élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social » ANTITHÈSE : Ceux qui disent que le bonheur des citoyens doit être déterminé par l’Etat, par sa Loi, voire par sa force. L’exemple ultime et jamais dépassé des Khmers rouges en 1975. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Où se trouve le bonheur ? Le domaine de la famille pour l’enfant, puis de l’individu adulte. Est-ce le domaine de la Loi ? La Loi doit-elle être totalement séparée de la question du bonheur ou juste au service de ses conditions ? L’exemple du Bhoutan et Bonheur national brut (BNB). Un exemple plus modéré en Occident : les services de protection de l’enfance. CONCLUSION : Le bonheur est affaire personnelle et familiale. L’Etat est un instrument qui ne donne pas le bonheur mais peut en protéger les conditions. PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Un sujet de philosophie éthique sur le rapport entre morale et politique. Vincent Peillon en 2012 : « L’Etat doit arracher l'élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social » ANTITHÈSE : Ceux qui disent que le bonheur des citoyens doit être déterminé par l’Etat, par sa Loi, voire par sa force. L’exemple ultime et jamais dépassé des Khmers rouges en 1975. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Où se trouve le bonheur ? Le domaine de la famille pour l’enfant, puis de l’individu adulte. Est-ce le domaine de la Loi ? La Loi doit-elle être totalement séparée de la question du bonheur ou juste au service de ses conditions ? L’exemple du Bhoutan et Bonheur national brut (BNB). Un exemple plus modéré en Occident : les services de protection de l’enfance. CONCLUSION : Le bonheur est affaire personnelle et familiale. L’Etat est un instrument qui ne donne pas le bonheur mais peut en protéger les conditions. |
00:33:00 |
29/11/2015 | 05 La morale | 03 Le bonheur | L'État vise-t-il le bonheur des individus ? | INTRODUCTION : Un sujet de toujours : Le Moyen âge et le Césaro-papisme. ANTITHÈSE : Deux exemples d’Etats qui visaient directement le bonheur de l’individu. THÈSE : La démocratie romaine qui visait les conditions diapositives du bonheur et laissait le bonheur à la discrétion du père de famille et à l’individu. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Les démocraties occidentales : l’équilibre subtil du rapport entre espace public et espace privé. Pas une séparation totale (Empire Romain) ni une fusion totale (totalitarisme). Une distinction, l’Etat mettant le bien commun au service du bonheur. L’exemple de la famille. CONCLUSION : Un rapport toujours en danger de rupture. PHILOSOPHIE REALISTE : INTRODUCTION : Un sujet de toujours : Le Moyen âge et le Césaro-papisme. ANTITHÈSE : Deux exemples d’Etats qui visaient directement le bonheur de l’individu. THÈSE : La démocratie romaine qui visait les conditions diapositives du bonheur et laissait le bonheur à la discrétion du père de famille et à l’individu. RECHERCHE DE LA VÉRITÉ : Les démocraties occidentales : l’équilibre subtil du rapport entre espace public et espace privé. Pas une séparation totale (Empire Romain) ni une fusion totale (totalitarisme). Une distinction, l’Etat mettant le bien commun au service du bonheur. L’exemple de la famille. CONCLUSION : Un rapport toujours en danger de rupture. |
00:24:00 |
28/10/2015 | Philosophie réaliste | Le travail | Que gagnons-nous à travailler ? | INTRODUCTION : Le travail, une des dimensions pratiques de l’homme. Il prend le plus de temps dans notre vie. PREMIÈRE PARTIE : Le travail en lui-même, une dimension qui structure l’homme à condition qu’il reste un travail humain (lien entre projet et œuvre, pas une exclusive application mécanique d’une tâche). DEUXIÈME PARTIE : La dimension éthique du travail, par le salaire et l’équilibre de vie : la fierté de faire vivre sa famille. C’est une dimension qu’a négligé dramatiquement le marxisme. L’oisiveté est la mère de tous les vices. Est-ce valable de la même façon pour les hommes et pour les femmes ? TROISIÈME PARTIE : La dimension politique du travail : construire la société. CONCLUSION : Retrouver un travail pleinement humain, selon toutes ses dimensions pratiques. | 00:31:00 |
31/12/9999 | Philosophie réaliste | Sagesse philosophique | L'idée de Dieu s'oppose-t-elle à la liberté de l'homme ? | PREMIÈRE PARTIE : CONCEPTUALISATION. 1° Les deux définitions de la liberté : - Faire ce qu'on veut ; - Être pleinement épanouit dans tout son être. 2° Ce que la question de Dieu et de son existence apporte DEUXIÈME PARTIE : REPONSE. Comment l'existence de Dieu et, conséquemment, d'une loi de Dieu inscrite dans notre être s'oppose à la liberté 1 (puisque dans ce cas, on n'est pas soi-même un dieu, libre de choisir le bien et le mal) mais comble la liberté au sens 2° (car notre vie prend un sens, et une vraie vie adaptée à notre être profond est en préparation). TROISIÈME PARTIE : OUVERTURE THEOLOGIQUE. Approche par la tradition catholique : la liberté de l'enfer et la liberté du paradis. | 00:33:00 |